L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
Françoise Othenin-Girard a participé au comité référendaire, puis a été la première présidente de l’AUBP (1987 à 2001). Elle est restée membre jusqu’en 2015. Françoise Othenin-Girard a également réalisé deux films, l’un sur les bains avant leur rénovation et l’autre sur la lutte contre la démolition.
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En l’état ce fonds documente surtout : la campagne référendaire et les différents projets soumis à la Ville après la victoire du référendum (série 1 et 2), ainsi que l’intense activité d’animation menée par l’AUBP aux Bains dès la campagne référendaire achevée (série 3).
Il est également constitué d’une revue de presse (série 4) remarquable par son volume (deux boîtes), qui contient non seulement les articles relatifs aux Bains des Pâquis en tant que bâtiment, mais également les recensions par la presse des activités culturelles menées aux bains.
Ce fonds est particulièrement significatif de l’articulation entre une lutte politique (référendum) et la mise en œuvre d’un projet culturel et d’animation de quartier.
Il doit être considéré dans la perspective des luttes urbaines en Ville de Genève (Ilôt 13, quartier des Grottes, États d’urgence et l’Usine de dégrossissage d’or) et de leur gestion par les autorités municipales. Rien n’obligeait celles-ci, en effet, après le rejet du projet de démolition en votation populaire, à confier à l’AUBP l’élaboration d’un projet de rénovation et de gestion du site.
L’histoire des Bains des Pâquis incarne assez bien l’idée développée par Michel Porret d’une négociation de la contre-culture dans son introduction au volume de la revue _Équinoxe_ consacrée à «La fabrique des culture : Genève 1968-2000». De ce point de vue, ce fonds présente également un intérêt pour l’histoire de la démocratie directe et de la politique urbaine et culturelle de la Ville de Genève.
Michel Porret, «Editorial» in _Equinoxe : La fabrique des culture_, Genève 1968-2000, n°24, automne 2004.
Le classement original a été conservé. A l'intérieur des séries, le classement chronologique domine.
Ce fonds pourrait être complété par les documents détenus par l’AUBP et considérés par elle comme des archives historiques. En particulier, la vie de l’association et la gestion quotidienne du site sont relativement peu représentées dans le fonds actuel. Une action de collecte complémentaire est en cours.
Les documents rassemblés ici ont été collectés par Françoise Othenin-Girard dans le cadre de son activités présidentielle, puis en tant que membre. Ces documents n’ont donc pas été remis aux Archives contestataires par l’AUBP qui conserve sans doute des archives pour sa part.
Armand Brulhart, _Les Bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
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Affiche pour le film _Un été aux Bains des Pâquis_. Dessin représentant une femme en maillot de bain, les cabines et le plongeoir des Bains qui semble exploser dans le fond. Autocollant annonçant une prolongation collé en travers de l'affiche.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
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« Chaque soir à 19h, une nouvelle voix dans une cabine »
Affiche pour le calendrier de l'avent des Bains des Pâquis, où 24 cabines sont investies. Image représentant une oreille d'où sortent des étoiles.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
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Affiche pour une course autour du phare aux Bains des Pâquis. Reproduction de la carte des Bains et pictogrammes d'un·e nageur·euse, d'un phare et de flèches circulaires.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
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Affiche pour une soirée à l'occasion du « Dia de los muertos [jour des morts] » avec orchestre, lectures, installations et restauration. Image représentant La Catrina, personnage de la culture populaire mexicaine, un squelette aux attributs féminins et aux habits bourgeois, portant un chapeau.
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Affiche pour une « silent party », organisée par Dialogai aux Bains des Pâquis. Dessin du plongeoir face à la rade et ses immeubles.
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Affiche pour une exposition de photographie aux Bains des Pâquis. Dans le cadre « de la semaine internationale d'action contre le racisme. Deux dates mentionnées sur l'affiche, la bonne date est vraisemblablement 2011.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
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Affiche pour la sortie du cd « L'air des bains » et journée de concerts. Photo-montage représentant des instruments sur les chaises longues de la salle de repos du sauna.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
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« (...) Les ballets de la mère r., déguisez-vous, grimez-vous, rendez-vous »
Affiche pour une fête de l'Escalade aux Bains des Pâquis. Dessin représentant les Bains surplombés d'une lune souriante.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
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Affiche pour l'inauguration du plongeoir des Bains des Pâquis. Démonstrations de plongeons et autres animations. Photographies de plongeons.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
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Affiche pour la projection du film _Les petites fugues_ de Yves Yersin (1979), et d'un court-métrage de Georges Schwizgebel. Image du personnage Pipe provenant du film de Yersin.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
Publié
Affiche du référendum lancé par l'AUBP contre la démolition-reconstruction des Bains des Pâquis. Reproduction de la carte des Bains.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
Publié
Affiche pour un tournoi de jass (jeu de carte) aux Bains des Pâquis.
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Double sur papier bleu.
L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
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Affiche pour des concerts tous les vendredis du mois d'août, année inconnue. Dessin d'un hippopotame prenant le plongeoir des Bains des Paquis dans sa gueule. Double sur papier bleu.
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Affiche pour un défilé de maillots de bain aux Bains des Pâquis. Image représentant quatre personnes en maillots de bain, appuyées sur des échelles.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
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Affiche pour la fête de réouverture des Bains des Pâquis après les travaux de rénovation. Brunch et concert. Image représentant des tasses et un croissant.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
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Affiche pour une « soirée travestie » aux Bains des Pâquis. Photo d'une femme sous le panneau des vestiaires « côté homme » et inversement.
Indication manuscrite au verso : « parasols à donner ».
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
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« Les bains ne se moquent pas du monde ! Fruits d'ailleurs, produits tropicaux »
Affiche pour un petit déjeuner aux Bains des Pâquis avec les Magasins du Monde. Dessin d'une femme portant un panier de fruits sur sa tête.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
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Affiche pour une exposition collective aux Bains des Pâquis.
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Affiche pour un tournoi de basket dans l'eau.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
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Affiche pour la course annuelle autour du phare. Dessin représentant des nageur·euse·s e tournant autour des Bains.
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« L'esprit des quartiers populaires disparaît peu à peu au bénéfice d'une politique de prestige servant l'industrie touristique. (...) La croissance a son prix »
Reproduction d'un texte de J.-M. Burnod paru dans le courrier des lecteurs du journal La Suisse élargissant la question du projet de démolition-reconstruction des Bains des Pâquis à des enjeux de développement urbains.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
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Affiche pour une exposition de sculptures de Constantin-Kotzev, Jean-François Gallina et Nicky Leverington.
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Affiche pour une fête aux Bains des Pâquis. Photographie d'une foule en maillot de bain.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
Constitution d'Etat d'urgences: mars 1985. Une conférence de presse est organisée à l'occasion de la fermeture de la Maison du Grütli aux activités culturelles. 27 avril 1985: «attentat rock» au centre commercial de Balexert organisé par Etat d'urgences. Le collectif mène de multiples actions revendicatives (manifestations, concerts, discos, expositions, etc.) dénonçant la fermeture systématique de lieux culturels. Les autorités municipales, avec lesquelles le collectif négocient, réclament une personnalité juridique pour Etat d'urgences. Une association est constituée en octobre 1985.
Novembre 1985: fermeture du Bouffon, une disco, sur ordre des autorités municipales. Réouverture illégale du lieu avec le soutien d'Etat d'urgences. Fin novembre l'association obtient en prêt à usage de la part de la Ville de Genève, la Villa Fiasko (10, rue Beaulacre). Le 10 décembre, une convention est signée et des rénovations sont effectuées par des membres du collectif. Dès l'inauguration publique de la villa (14, 15, 16 mars 1986), le voisinage se plaint des nuisances provoquées par les activités organisées. Le 19 juin 1986, après deux pétitions et de multiples plaintes, les autorités municipales ordonnent la cessation de toute activité publique dans la villa, des solutions de repli sont proposées et refusées par Etat d'urgences. Une nouvelle vague d'action de protestation démarre.
Etat d'urgences mène alors de front des négociations avec les autorités municipales et de nouvelles actions revendicatives (notamment les Fiaskomobiles). En septembre 1986, les autorités promettent de mettre à disposition l'Usine genevoise de dégrossissage d'or (UGDO), un bâtiment industriel désaffecté dans le quartier de la Jonction à Etat d'urgences, Post Tenebras Rock et le Groupe de liaison des associations de jeunesse (GLAJ). Etat d'urgences et PTR (le GLAJ a décliné la proposition) inaugurent les lieux en juin 1989, après de gros travaux.
En 1989, une charte est rédigée en vue de fixer quelques éléments d'organisation du lieu (S01). On y distingue ainsi les «Ateliers» qui sont des groupes qui gèrent un espace dans l'Usine, les «groupes» qui «utilisent régulièrement les espaces de l'Usine» un groupe de gestion qui «assure le fonctionnement du l'Usine», se réunit une fois par semaine et comprend des représentants des ateliers et des groupes.
On trouve à l'Usine: une salle de concert, un cabaret-dancing, un magasin, un bistrot (Débido), un cinéma (Spoutnik), un théâtre, une galerie. Ces lieux sont dits publics et ils sont gérés par des groupes désignés par l'association. Il y a également des ateliers fermés au public. Dès le début, Etat d'urgences fonctionne sans subvention. En 1992, constatant l'essoufflement des bénévoles, trois structures (cinéma, théâtre et espace d'art) demandent des subventions de fonctionnement.
En janvier 1998, L'Usine ferme pour huit mois, afin de procéder à des travaux importants de cloisonnement des différents espaces et, plus largement, pour rendre le lieu plus fonctionnel pour les activités culturelles qui y sont déployées. L'association Etat d'urgences est dissoute en 1998 et c'est l'association Usine qui prend sa suite.
Publié
Affiche pour une soirée aux Bains des Pâquis. Photographie de la jetée et de l'horloge qui surplombe les Bains, reproduite plusieurs fois sur l'affiche.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
Publié
Affiche pour un « bal aux Bains » avec les Kouzin Zaka (Haïti). Performance et restauration. Dessin de la jetée, du phare et de l'horloge.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
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Affiche pour une fête aux Bains des Pâquis. Photographie d'un groupe d'enfants posant en maillot de bain, des personnes en blouse blanche derrière eux, tout le monde porte des sortes de lunettes de piscine.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
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Affiche pour une fête aux Bains des Pâquis. Reproduction d'une peinture représentant le phare ainsi qu'une grande vague dans laquelle se trouvent des déchets.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
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Affiche informationnelle expliquant la reprise de la gestion des Bains des Pâquis par l'AUBP. Mise en avant des enjeux d'accessibilité portés par l'AUBP, et nouveaux horaires.
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Publié
Affiche représentant une bouée dessinée et une photographie de la jetée, du phare et de l'horloge des Bains au centre de cette bouée.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
Françoise Othenin-Girard a participé au comité référendaire, puis a été la première présidente de l’AUBP (1987 à 2001). Elle est restée membre jusqu’en 2015. Françoise Othenin-Girard a également réalisé deux films, l’un sur les bains avant leur rénovation et l’autre sur la lutte contre la démolition.
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Affiche annonçant le chantier de démolition-reconstruction prévu par la Ville aux Bains des Pâquis. Pour renseignements contactez l'AUBP. Photographie de la jetée, du phare et de l'horloge des Bains.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
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« Un badge contre la démolition »
Affiche pour la lutte contre le projet de démolition-reconstruction aux Bains des Pâquis. Photographie des bassins et de la rade.
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Double sur papier bleu.
L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
Publié
Affiche présentant le référendum contre la démolition des Bains porté par l'AUBP. Explicitation des enjeux. Reproduction d'une carte des Bains. Double sur papier bleu.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
Publié
Affiche pour 24 heures d'animation entre le 31 juillet et le 1er août, jour de fête nationale. Diverses animations et folklore suisse. Année inconnue. Texte disposé en forme de croix suisse.
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Publié
Affiche ou panneau rédigé à la main : « Signez le référendum pour que le peuple puisse s'exprimer à ce sujet »
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
Publié
Programme des activités du mois de décembre aux Bains, année inconnue.
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Publié
Affiche et programme pour l'Escalade aux Bains des Pâquis. Dessin d'une petite table et d'une échelle.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
Publié
Affiche pour le calendrier de l'avent des Bains des Pâquis, où 24 artistes investisse chacun une cabine. Photo-montage de plusieurs peintures classiques sortant de la porte de la cabine 24 des Bains.
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L’Association des usagers des bains des Pâquis a été fondée en février 1987. La Ville de Genève projetait alors de démolir et reconstruire les bains des Pâquis sur la rive droite de la rade de Genève. Ces bains publics, en béton armé, datent de 1931-1932 date à laquelle l’infrastructure des bains déjà existant a été augmentée avec l’ajout d’une buvette, de cabines supplémentaires, etc.
En 1987, la Ville de Genève, propriétaire des bâtiment, affirme que les bains risquent de s’effondrer, d’où la nécessité de les démolir et de reconstruire à neuf. L’AUBP souhaite empêcher la démolition. Elle dépose dans ce but une pétition qui demande :
- le maintien de l’accès à la plage pendant les travaux ;
- le maintien du prix d’entrée à 1.- après les travaux ;
- le maintien de la polyvalence des bains (espaces mixtes et non-mixtes).
Les autorités municipales ne donnent pas suite à ces revendications et votent, le premier décembre 1987, le crédit de démolition reconstruction. L’AUBP lance alors un référendum municipal, déposé le 8 janvier 1988 avec plus de 9’000 signatures. Dans le cadre de la campagne, elle fait contre-expertiser l’état de l’infrastructure et établir un devis de restauration par une entreprise spécialisée (série 1).
Le 25 septembre 1988, le corps électoral de la Ville de Genève donne raison à l’AUBP par 71,11 % des voix. Le projet de démolition est refusé. Les autorités de la Ville de Genève mettent alors au défi l’AUBP de présenter un projet de rénovation pour une somme inférieure aux 9 millions du projet municipal. La condition est posée que l’AUBP devienne gérante des bains. Deux membres obtiennent la gérance de la buvette pour 1989 et 1990. En mars 1990, le Conseil administratif (exécutif municipal) propose au législatif le projet de gestion établi par l’AUBP. Le 15 juin 1990, le législatif confie la gestion des bains à l’Association.
Sur proposition de l’AUBP, la Ville mandate, dès 1989, un collectif d’architectes composés de Marcellin Barthassat, C. Butty, Gabriele Curonici, Jacques Menoud et Jean-Pierre Cêtre pour élaborer un projet de rénovation sans démolition. Les travaux s’étalent sur trois périodes de huit mois, à la saison morte (mi-septembre à mi-mai).
Une fois les bains rénovés, l’association s’occupe à la fois de la gestion du site et de l’animation de celui-ci. Une quantité considérables d’animations culturelles et de loisirs est organisée chaque année. L’AUBP aménage par la suite un sauna et des bains turcs.
Armand Brulhart, _Les bains des Pâquis_, Slatkine, Genève, 2002.
_Dépliants de présentation des Bains des Pâquis_, diverses dates, Série 1.
Publié
Affiche pour la course de natation annuelle autour du phare. Dessin représentant des petites créatures portant des maillots de bains rayés rouge et blanc, nageant dans l'air autour du phare.
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Publié
« Soyeux nombreux, ce sera boa voir ! »
Affiche pour une fête sur le thème des plumes aux Bains des Pâquis.
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