ContrAtom est une association, reconnue d’utilité publique, fondée à la fin de 1985 pour s’opposer à la foire du nucléaire (ENC’86) qui se tenait à Palexpo (Genève) en juin 1986. 3000 personnes manifestèrent contre cette foire et celle de 1990 (ENC’90) fut précipitamment déplacée à Lyon…
Le premier numéro du notre journal date de mars 1988. Il n’a cessé de paraître depuis avec une périodicité de quatre numéros par an.
L'association s'est engagée dans la campagne en faveur de l’initiative cantonale « l’énergie notre affaire » (Art. 160C, devenu 160E) en décembre 1986. Elle a cherchà à obtenir la fermeture du surgénérateur de Crey-Malville (France), notamment au sein du groupe «Européens contre Superphenix» qu'elle a fondé.
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Moyen
Final
CH-002049-8
Il s'agit des archives de l'association. Elles comprennent donc des documents sur les campagnes menées par Contratom, ainsi que des documents relatifs au fonctionnement de l'association. Le fonds contient également des documents graphiques (affiches, autocollants, etc.) ainsi que des artefacts (panneaux utilisés pour les manifestations).
Chemises plastique, trombones et autres séparations ont été remplacées par chemises en papier (blanches).
Les titres sur les chemises ont été reportés.
L'ordre est celui du bordereau.
Coordination contre Verbois nucléaire (CCVN), fonds Ladislas Mysyrowicz (1936-), Archives d’État Genève, Archives Privées 252.4.1 à 10 ([instrument de recherche](https://ge.ch/arvaegconsult/ws/consaeg/public/FICHE/AEGSearch)).
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Cette série est composée de 3 sous-séries.
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Cette sous-série est composée de 31 dossiers.
ContrAtom est une association, reconnue d’utilité publique, fondée à la fin de 1985 pour s’opposer à la foire du nucléaire (ENC’86) qui se tenait à Palexpo (Genève) en juin 1986. 3000 personnes manifestèrent contre cette foire et celle de 1990 (ENC’90) fut précipitamment déplacée à Lyon…
Le premier numéro du notre journal date de mars 1988. Il n’a cessé de paraître depuis avec une périodicité de quatre numéros par an.
L'association s'est engagée dans la campagne en faveur de l’initiative cantonale « l’énergie notre affaire » (Art. 160C, devenu 160E) en décembre 1986. Elle a cherchà à obtenir la fermeture du surgénérateur de Crey-Malville (France), notamment au sein du groupe «Européens contre Superphenix» qu'elle a fondé.
Le Comité Européen Contre la Surgénération et le Retraitement est fondé officiellement le 16 décembre 1989 à Genève à l'initiative de Contratom - il a été brièvement nommé Comité Européen Contre Superphénix (CECS). Le comité rassemble dès ses début une cinquantaine d'organisations antinucléaires européennes, parmi lesquelles une quinzaine participe à la réunion qui entérine la fondation du CECSR :
* Contratom
* APAG
* Comité "l'avenir est notre affaire"
* Conférence Suisse pour l'arrêt des centrales nucléaires
* Greenpeace Suisse
* WWF Genève
* Comité Malville Lyon
* LCR-Chambéry
* JCR-Chambéry
* Amici della terra
* Democrazia Proletaria
* Lista Verde
* Nuova Sinistra - Valle d'Aosta
* Comité contre les mines d'uranium
* Comité Stopp Kalkar
* Wise - Amsterdam
* Izquierda unida.
Le CECSR décide lors de sa seconde réunion de se concentrer sur la mise à l'arrêt de la centrale de Creys-Malville et sur le traitement des déchets radioactifs. Le comité coordonne des événements ou manifestations ayant lieu de façon simultanée à différents endroits en Europe ou des appels à des événements plus larges, principalement en France et en Suisse. Les actions du CECSR visent autant la mobilisation pour des manifestations que du lobbying auprès des autorités responsables du dossier Creys-Malville ou du travail d'information auprès de la population. Malgré l'accent mis sur la centrale de Superphénix le comité collabore également régulièrement avec d'autres groupes anti-nucléaire à l'international, notamment avec les opposants au surgénérateur de Monju au Japon.
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Le dossier Malville contient la documentation produite et rassemblée dans le cadre de la campagne contre le surgénérateur de Creys-Malville entre 1986 et 1998. Bien que Contratom ait été un moteur important de la campagne des dizaines d'organisations européennes se sont mobilisées contre Creys-Malville à cette période. Les documents disponibles dans le dossiers sont produits dans le contexte d'un travail de coalition réalisé dans ce cadre, particulièrement à partir de fin 1989 lorsque ces organisations fondent le Comité Européen Contre la Surgénération et le Retraitement (CECSR). Le dossier est organisé en sous-dossiers chronologiques, un par année. Chaque sous-dossier est constitué de trois types de chemises :
1) des chemises dédiées aux documents revenant de manière récurrente: documents internes, courriers, notes, divers, communiqués, manifestations et événements et documentation scientifique,
2) des chemises concernant des temps forts de la campagne,
3) des chemises thématiques constituées lors du classement ou trouvées telles quelles dans le fonds.
Les "temps forts" se poursuivant parfois sur plusieurs années, on trouve des chemises "recours au redémarrage de 94", par exemple, dans plusieurs sous-dossiers. L'inventaire de chaque sous dossier indique toutes les chemises qu'il contient.
Les coupures de presse concernant la campagne ont été conservées dans leur quasi totalité. L'essentiel a été classé par année et réuni dans des boîtes dédiées aux coupures de presse à l'exception de deux cas : 1) les chemises thématiques sur lesquelles nous ne sommes pas intervenu.es contiennent parfois des coupures de presse 2) des coupures de presse ont parfois été ajoutées à des chemises "temps forts" car elles apportent des éléments de compréhension importants.
Les publications sont extraites du dossier.
Les doubles ont été éliminés, ainsi que certains documents non reliés à la campagne.
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* Plan Particulier d'Intervention des secours pour les voisins de Creys Malville + annexes
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* Rapport sur Superphénix par les organes suisses et français responsables de la sûreté nucléaire
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* Courriers
* Communiqués
* Manifestations et événements
*Proposition de motion au Conseil d'État
* « L'incident de Superphénix et l'avenir des surgénérateurs »
* Dossier « Malville résumé Radio Zones »
* APAG
* Documentation fast breeder reactor fournie par R. Donderer (ang. et all.)
* Documentation Maville
* Divers
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* Courriers
* Notes
* Manifestation du 19.11
* Maquette du premier numéro de la revue de Contratom
* Dossier redémarrage de 1989
* Documentation Malville
* Divers
Jochen Benecke est un physicien mandaté par l'APAG (Appel de Genève) pour produire un rapport - publié en 1989 - quant à la sûreté de la centrale de Creys-Malville. Il avait précédemment élaboré une expertise ayant contribué à l'abandon de la mise en route du surgénérateur de Kalkar en Allemagne.
Lucien Borel a obtenu son diplôme d’ingénieur mécanicien de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) en 1950. Puis il a exercé une activité dans l’industrie suisse jusqu’à sa nomination en tant que professeur de thermodynamique et de machines thermiques à l’EPFL en 1954. Il y a dirigé le Laboratoire de Thermodynamique et d’énergétique et effectué de nombreuses études dans le domaine de la thermodynamique, des turbomachines et de l’énergie. Il a été professeur honoraire de 1988 à son décès à Lausanne, le 26 septembre 2007.
Il est président de l'APAG (Appel de Genève) en 1989.
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* Notes
* Manifestations et événements
* Communications
* Dossier rapport Benecke
* Rapport de l'Office fédéral de l'énergie sur l'incident du barillet
* Société d'étude de l'environnement (SEDE SA)
* Projet de brochure « Malville, la fin d'un mythe »
* Dossier Democrazia Proletaria
* Intervention de Borel et Lehmann auprès de Adolf Ogi
* Malville : débat à Annecy
* Création du CECSR (Comité Européen Contre la Surgénération et le Retraitement)
* Incident à Marcoule
* Documentation supergénérateurs
* Divers
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* Documents internes
* Courriers
* Conférence de presse à Rome
* Pétition de l'Avenir est notre affaire au Parlement européen
* Mobilisation Tchernobyl – Malville
* Conférence des Verts européens
* Enc 90 (European Nuclear Conference)
* Étude CRII-RAD
* Incidents Phénix et Superphénix
* Documentation Malville
* Documentation nucléaire
* Divers
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* Documents internes
* Courriers
* Notes
* Communiqués et communications
* Lettres à Edith Cresson
* Annulation du décret de redémarrage de 1989
* Rapport EDF sûreté nucléaire
* Enquête sur la gestion du risque à la centrale de Creys-Malville
* Rapport « l'industrie nucléaire française en crise »
* Étude CRII-RAD suite
* Rapport sur le contrôle de la sûreté et de la sécurité des installations nucléaires (rapport Birraux)
* Association Vivre sans Malville
* Dossier retraitement à la Hague
* Dossier Plutonium Japon
* Divers
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* Documents internes
* Courriers
* Communiqués
* Manifestations et événements
* Dossier conférence de presse Superphénix
* Phénix (Marcoule), incidents et programme d'essais + bilan CRII RAD
* Journée d'audition 19.05
* Rapport DSIN et suites dans la presse
* Rapport Curien
* Documentation nucléaire et Malville
* Divers
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* Documents internes
* Courriers
* Notes
* Communiqués
* Manifestations et événenements
* Analyse du GSIEN sur le rapport Curien
* Rapport Koller-Donderer
* Rapport commission d'enquête publique
* Dossier Monju / Superphénix
* Appel à la raison (lettre ouverte)
* Journée d'audition de l'office parlementaire (suites rapport Birraux)
* Divers
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* Documents internes
* Courriers
* Communiqués et dossiers de presse
* Rapport Birraux (suite)
* Appel à la raison (suite)
* Plainte à la Commission européenne et pétition au Parlement européen
* Comments on the DSIN report (Brettner et Donderer)
* Marche Malville-Matignon
* Autorisation de redémarrage Malville
* Dossier fastbreeder de Monju
* Plaintes individuelles suite au redémarrage
* Question urgente au Conseil Fédéral
* Recours contre le décret de redémarrage de 94
* Note d'information du Département de l'Intérieur au Grand Conseil
* Intervention Jean-Pierre Brard à l'assemblée nationale
* Lettres au Conseiller Fédéral mr. Ögi
* Affaire Carlos
* Dossier Ecoropa
* Divers
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* Documents internes
* Courriers
* Dossiers et communiqués de presse
* Manifestations et événements
* Tracts
* Lettre ouverte au Conseiller fédéral Ögi
* Recours au décret de redémarrage de 94 (suite)
* Débat Superphénix à Zurich
* Interpellation et projet de motion
* Fuite au Fast-breeder de Monju
* Documentation + chronologie Malville (1989 à 1995)
* Divers
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* Documents internes
* Courriers
* Notes
* Dossiers et communiqués de presse
* Événements et manifestations
* Suites incident à Monju
* Recours au décret de redémarrage de 94
* Projet de revue « sortir du nucléaire »
* Documents commission scientifique chargée d'évaluer les capacités de Superphénix comme outil de recherche + démission de Raymond Sené
* Rapport de la cour des comptes
* Étude CRII-RAD au CERN
* Session sur Tchernobyl du Tribunal Permanent des Peuples
* Divers
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* Documents internes
* Communiqués
* Manifestations et événements
* Annulation du décret de redémarrage
* Point du GSIEN sur Superphénix
* Annonce de l'arrêt de Superphénix
* Séminaire Tchernobyl
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* Documents internes
* Arrêt de Superphénix
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* Bilan financier de la campagne
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Notes manuscrites, communiqués et visuels non datés.
* Conférence - débat organisée par "le Copper"
* "Le redémarrage de Superphénix, analyse d'un point de vue économique"
* "Superphénix, L'erreur de Creys-Malville"
* Photographies
* "Plutonium sur Rhône"
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TMP : Cette chemise se trouve dans la GB1009
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Cette sous-série est composée de 11 dossiers.
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TMP : Ajouter dans ce dossier les artefacts divers (autocollants, faux billets de banque, sac de course « abri de poche » et collage affichette Malville) contenus dans la GB1009 ?
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Cette série contient des procès-verbaux de réunions, des rapports annuels du comité à l'assemblée générale et des documents relatifs aux impôts.
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« Il n'y a pas de folie plus grande que l'organisation présente de la vie »
Affiche commémorative 4 ans après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. Photographie de manifestants à Minsk.
40x59
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Affiche pour une manifestation de soutien à Genève, « pour la libération immédiate des quatre séquestrés de la police fédérale ». Dessin d'un ange libérant un prisonnier, une fenêtre de la prison dans le fond a les barreaux brisés.
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« Deux mois de prison, deux mois de trop ! »
Affiche pour une manifestation en soutien aux « quatre séquestrés de la police fédérale » à Genève. L'affiche représente Helvetia, la tête dans ses bras, appuyée sur un écusson suisse sur lequel se trouve inscrit « loi fédérale de 1934 » (référence à la loi fédérale sur la procédure pénale). Trois anges l'entourent, essayant de la consoler.
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ContrAtom est une association, reconnue d’utilité publique, fondée à la fin de 1985 pour s’opposer à la foire du nucléaire (ENC’86) qui se tenait à Palexpo (Genève) en juin 1986. 3000 personnes manifestèrent contre cette foire et celle de 1990 (ENC’90) fut précipitamment déplacée à Lyon…
Le premier numéro du notre journal date de mars 1988. Il n’a cessé de paraître depuis avec une périodicité de quatre numéros par an.
L'association s'est engagée dans la campagne en faveur de l’initiative cantonale « l’énergie notre affaire » (Art. 160C, devenu 160E) en décembre 1986. Elle a cherchà à obtenir la fermeture du surgénérateur de Crey-Malville (France), notamment au sein du groupe «Européens contre Superphenix» qu'elle a fondé.
L'_Appel de Genève_ est lancé le 2 octobre 1978 en tant que manifeste. Les premiers signataires sont au nombre d'une trentaine, principalement des universitaires de Suisse romande. Il sera ensuite signé par près de 50'000 personnes en Europe occidentale («Qu'est-ce que l'APAG?» S1). Le 21 octobre 1978, les membres actifs du comité constituent l'Association pour l'Appel de Genève (APAG) avec pour but statutaire: «de diffuser l'Appel de Genève, de favoriser l'information de l'opinion publique sur le choix de société représenté par l'électronucléaire d'une part et les technologies douces, fondées sur les énergies renouvelables, d'autre part [...] et de promouvoir la démocratisation des choix énergétiques fondamentaux par l'ouverture d'un large débat dans l'opinion publique et la consultation des populations concernées.»
L'APAG a publié un _Livre jaune sur la société du plutonium == Yellow book on the Plutonium Society_ (éd. de La Baconnière). Elle a suscité l'organisation d'auditions publiques contradictoires par les autorités genevoises en 1982 dont les compte-rendus ont été publiés sous le titre _Enérgie et société. Les surgénérateurs, vrai ou faux problème?_ (Institut national genevois). Elle a coorganisé avec des associations de consommateurs un cycle de six conférences sur le thème «Quelle radioactivité dans nos assiettes?» en mars 1987. Elle a encoure publié un périodique, la _Gazette de l'APAG_ qui a été remplacé, dès 1990, par _Stratégies énergétiques, biosphère et société (SEBES)_.
L'APAG a également mandaté un expert en matière de sécurité nucléaire (Jochen Beneke) pour effectuer un rapport indépendant sur le niveau de sécurité du surgénérateur Superphénix de Creys-Malville (France). Avec d'autres composantes du mouvement anti-nucléaire suisse et français l'APAG a pris part au différentes actions judiciaires contre le démarrage et les divers redémarrages du surgénérateur.
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Affiche pour un appel aux dons en soutien à la campagne contre Creys-Malville. Photographie d'un crâne humain.
30x42
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Affiche contre le redémarrage du réacteur Superphénix de la centrale de Creys-Malville. Citation du journal Libération sur des enfants qui tombent malades dans une ville proche de Tchernobyl.
Le dessin de Topor représente une femme portant dans ses bras un bébé au corps troué duquel quelque chose fuit. Un homme les regarde. Le texte suivant est inscrit en haut du dessin : « - On l'appelle Centrale nucléaire parce qu'il fuit de partout. - Tant qu'il ne pète pas... ».
En bas de l'image, le dessin d'un coq portant l'inscription « Mort au coq fou ».
30x42
recto de AC_aff_0243_v
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« Il n'y a pas besoin de plan catastrophe. La seule manière de prévenir la catastrophe, c'est d'arrêter cette expérimentation grandeur anti-nature tout de suite ».
Affiche pour une manifestation nationale suite à la fuite de sodium du réacteur Superphénix à Creys-Malville. Au recto, dessin d'un squelette avec le plan du réacteur à la place de son ventre. Explicitations des enjeux de dangerosité du réacteur au verso.
Producteur (Édition de la Tempresse) attribué d'après le catalogue du Cira (cote 589).
-
verso de AC_aff_0243_v
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« Il n'y a pas besoin de plan catastrophe. La seule manière de prévenir la catastrophe, c'est d'arrêter cette expérimentation grandeur anti-nature tout de suite ».
Affiche pour une manifestation nationale suite à la fuite de sodium du réacteur Superphénix à Creys-Malville. Au recto, dessin d'un squelette avec le plan du réacteur à la place de son ventre. Explicitations des enjeux de dangerosité du réacteur au verso.
Producteur (Édition de la Tempresse) attribué d'après le catalogue du Cira (cote 589).
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Affiche contre le redémarrage du réacteur nucléaire Superphénix de la centrale de Creys-Malville. Photographie de la centrale avec un effet de distorsion.
30x42
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Affiche proposant une lettre type à envoyer à Edouard Balladur pour demander l'arrêt définitif du réacteur Superphénix à Creys-Malville.
Caricature représentant Edouard Balladur et un autre personnage discutant, avec l'inscription suivante : « - Euh, sans rire mon Premier ministre, si elle pète Superphénix ? - Impossible !! EDF paie des experts pour croiser les doigts et allumer des cierges ».
30x42
Né à Rome. Maturité artistique et École supérieure d'art visuel à Genève. Crée l'atelier Tiramisù avec Claudine Kasper (d'après Ariel Herbez, _Affiches BD_, 1996).
ContrAtom est une association, reconnue d’utilité publique, fondée à la fin de 1985 pour s’opposer à la foire du nucléaire (ENC’86) qui se tenait à Palexpo (Genève) en juin 1986. 3000 personnes manifestèrent contre cette foire et celle de 1990 (ENC’90) fut précipitamment déplacée à Lyon…
Le premier numéro du notre journal date de mars 1988. Il n’a cessé de paraître depuis avec une périodicité de quatre numéros par an.
L'association s'est engagée dans la campagne en faveur de l’initiative cantonale « l’énergie notre affaire » (Art. 160C, devenu 160E) en décembre 1986. Elle a cherchà à obtenir la fermeture du surgénérateur de Crey-Malville (France), notamment au sein du groupe «Européens contre Superphenix» qu'elle a fondé.
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« Accompagnons les marcheurs de Malville - Paris »
Affiche pour une manifestation puis un concert du Beau Lac de Bâle contre le redémarrage du réacteur Superphénix de la centrale de Creys-Malville. Dessin représentant un crane humain avec une casserole sur la tête, portant l'inscription « amène ta casserole » et un sifflet dans la bouche.
37x53
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Journal mural sur les luttes antinucléaires en France, avec un encadré sur la centrale de Creys-Malville.
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Affiche appelant à voter oui aux deux initiatives sur le nucléaire : « pour un approvisionnement en énergie sûr, économique et respectueux de l'environnement » et « pour un avenir sans nouvelles centrales atomiques ». Affiche peinte à la main représentant le Cervin qui se transforme en tours de refroidissement.
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ContrAtom est une association, reconnue d’utilité publique, fondée à la fin de 1985 pour s’opposer à la foire du nucléaire (ENC’86) qui se tenait à Palexpo (Genève) en juin 1986. 3000 personnes manifestèrent contre cette foire et celle de 1990 (ENC’90) fut précipitamment déplacée à Lyon…
Le premier numéro du notre journal date de mars 1988. Il n’a cessé de paraître depuis avec une périodicité de quatre numéros par an.
L'association s'est engagée dans la campagne en faveur de l’initiative cantonale « l’énergie notre affaire » (Art. 160C, devenu 160E) en décembre 1986. Elle a cherchà à obtenir la fermeture du surgénérateur de Crey-Malville (France), notamment au sein du groupe «Européens contre Superphenix» qu'elle a fondé.
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Affiche pour une manifestation antinucléaire à Genève, à propos de la centrale de Creys-Malville et des essais nucléaires menés par l'État français à Moruroa en Polynésie française. Dessin représentant deux personnages qui dansent, portant des masques avec le symbole de la radioactivité.
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« Faites l'humour, pas la guerre »
« Jeunes voix, re-sensez-vous »
Affiche reproduisant un texte poétique et humoristique appelant à une manifestation à Genève. Reproduction du dessin Paysage suisse V dans _Du monde moderne_ de Martial Leiter (Éditions d'en Bas, 1989).
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Double sur papier jaune.
ContrAtom est une association, reconnue d’utilité publique, fondée à la fin de 1985 pour s’opposer à la foire du nucléaire (ENC’86) qui se tenait à Palexpo (Genève) en juin 1986. 3000 personnes manifestèrent contre cette foire et celle de 1990 (ENC’90) fut précipitamment déplacée à Lyon…
Le premier numéro du notre journal date de mars 1988. Il n’a cessé de paraître depuis avec une périodicité de quatre numéros par an.
L'association s'est engagée dans la campagne en faveur de l’initiative cantonale « l’énergie notre affaire » (Art. 160C, devenu 160E) en décembre 1986. Elle a cherchà à obtenir la fermeture du surgénérateur de Crey-Malville (France), notamment au sein du groupe «Européens contre Superphenix» qu'elle a fondé.
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Affiche appelant à une manifestation à Genève commémorant la catastrophe de Tchernobyl et contre le redémarrage de Superphénix à la centrale de Creys-Malville.
44x62
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Affiche antinucléaire représentant un enfant devant des lignes à haute tension. Un bandeau appelant à une votation contre le nucléaire est collé en bas de l'affiche mais ne semble correspondre à aucune date de votation ayant eu lieu sur ce sujet.
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ContrAtom est une association, reconnue d’utilité publique, fondée à la fin de 1985 pour s’opposer à la foire du nucléaire (ENC’86) qui se tenait à Palexpo (Genève) en juin 1986. 3000 personnes manifestèrent contre cette foire et celle de 1990 (ENC’90) fut précipitamment déplacée à Lyon…
Le premier numéro du notre journal date de mars 1988. Il n’a cessé de paraître depuis avec une périodicité de quatre numéros par an.
L'association s'est engagée dans la campagne en faveur de l’initiative cantonale « l’énergie notre affaire » (Art. 160C, devenu 160E) en décembre 1986. Elle a cherchà à obtenir la fermeture du surgénérateur de Crey-Malville (France), notamment au sein du groupe «Européens contre Superphenix» qu'elle a fondé.
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« Nucléaire et effet de serre »
Affiche sur les coûts du nucléaire et la production de CO2.
Photographie d'une centrale et sa tour de refroidissement.
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L'agence Interfoto a été créée en 1976 par un groupe de photographes non-professionnels.
Proches des syndicats et organisations de gauche, leur premier objectif était de fournir à ces groupes un matériel photographique pour leur tracts, journaux, livres et expositions en photographiant les événements alors peu couverts par les agences commerciales : manifestations, occupations, luttes syndicales ou de quartier. Parallèlement Interfoto s'est de plus en plus intéressée à différents aspects de la vie quotidienne : vie au travail, habitat urbain, transports en commun…et a progressivement créé elle-même des publications et des expositions sur ces thèmes.
Les photographes d'Interfoto ont choisi de ne pas privilégier la photo d'auteur, mais au contraire la création collective : c'est en équipe qu'ils déterminent les reportages à effectuer, qu'ils décident des photos à distribuer, qu'ils se répartissent les tâches sans hiérarchie ou spécialisation. C'est selon les disponibilités de chacun qu'ils effectuent les prises de vue, le travail en laboratoire, l'archivage et l'administration, la construction des expositions et des livres.
Ce travail collectif et une grande autonomie financière (aucun photographe n'est rétribué pour son travail) sont les deux moyens que se donne Interfoto pour garder sa liberté, celle de donner à lire sa vision des réalités sociales dans les images de la vie quotidienne.
Actuellement l'agence se compose de six membres : Andrea Baccini, Franco Cavadini, Véronique Jeanneret, Cornelia Kerkhoff, Jacques Saugy, Riccardo Willig.
(Extrait du [site Internet](http://www.interfoto.ch/) de l'agence)
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Manchette du _Courrier_ pour une exposition autour de la centrale de Creys-Malville. Photographie de trois enfants marchant sur un pont (visiblement le Pont de la Machine à Genève), l'un·e d'eux avec une pancarte « hier : Tchernobyl, demain : Malville ? »
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ContrAtom est une association, reconnue d’utilité publique, fondée à la fin de 1985 pour s’opposer à la foire du nucléaire (ENC’86) qui se tenait à Palexpo (Genève) en juin 1986. 3000 personnes manifestèrent contre cette foire et celle de 1990 (ENC’90) fut précipitamment déplacée à Lyon…
Le premier numéro du notre journal date de mars 1988. Il n’a cessé de paraître depuis avec une périodicité de quatre numéros par an.
L'association s'est engagée dans la campagne en faveur de l’initiative cantonale « l’énergie notre affaire » (Art. 160C, devenu 160E) en décembre 1986. Elle a cherchà à obtenir la fermeture du surgénérateur de Crey-Malville (France), notamment au sein du groupe «Européens contre Superphenix» qu'elle a fondé.
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Affiche pour un « rassemblement aux flambeaux » à Genève, à l'occasion de la réunion de l'Internationale socialiste à Genève, pour exiger l'arrêt définitif du réacteur nucléaire Superphénix de la centrale de Creys-Malville.
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Double en sur papier jaune.
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«... démarrage de la ruine de Malville »
Affiche contre le redémarrage de Superphénix à la centrale de Creys-Malville. Photographie des dégâts sur Superphénix.
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« Faites-vous un beau costume de mutant, et prenez de quoi faire résonner toute la République (casseroles, crécelle, tambours, etc.) »
Affiche pour « un grand bal des mutants » à Genève. Dessin de nombreuses créatures devant un clocher d'église.
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ContrAtom est une association, reconnue d’utilité publique, fondée à la fin de 1985 pour s’opposer à la foire du nucléaire (ENC’86) qui se tenait à Palexpo (Genève) en juin 1986. 3000 personnes manifestèrent contre cette foire et celle de 1990 (ENC’90) fut précipitamment déplacée à Lyon…
Le premier numéro du notre journal date de mars 1988. Il n’a cessé de paraître depuis avec une périodicité de quatre numéros par an.
L'association s'est engagée dans la campagne en faveur de l’initiative cantonale « l’énergie notre affaire » (Art. 160C, devenu 160E) en décembre 1986. Elle a cherchà à obtenir la fermeture du surgénérateur de Crey-Malville (France), notamment au sein du groupe «Européens contre Superphenix» qu'elle a fondé.
L'_Appel de Genève_ est lancé le 2 octobre 1978 en tant que manifeste. Les premiers signataires sont au nombre d'une trentaine, principalement des universitaires de Suisse romande. Il sera ensuite signé par près de 50'000 personnes en Europe occidentale («Qu'est-ce que l'APAG?» S1). Le 21 octobre 1978, les membres actifs du comité constituent l'Association pour l'Appel de Genève (APAG) avec pour but statutaire: «de diffuser l'Appel de Genève, de favoriser l'information de l'opinion publique sur le choix de société représenté par l'électronucléaire d'une part et les technologies douces, fondées sur les énergies renouvelables, d'autre part [...] et de promouvoir la démocratisation des choix énergétiques fondamentaux par l'ouverture d'un large débat dans l'opinion publique et la consultation des populations concernées.»
L'APAG a publié un _Livre jaune sur la société du plutonium == Yellow book on the Plutonium Society_ (éd. de La Baconnière). Elle a suscité l'organisation d'auditions publiques contradictoires par les autorités genevoises en 1982 dont les compte-rendus ont été publiés sous le titre _Enérgie et société. Les surgénérateurs, vrai ou faux problème?_ (Institut national genevois). Elle a coorganisé avec des associations de consommateurs un cycle de six conférences sur le thème «Quelle radioactivité dans nos assiettes?» en mars 1987. Elle a encoure publié un périodique, la _Gazette de l'APAG_ qui a été remplacé, dès 1990, par _Stratégies énergétiques, biosphère et société (SEBES)_.
L'APAG a également mandaté un expert en matière de sécurité nucléaire (Jochen Beneke) pour effectuer un rapport indépendant sur le niveau de sécurité du surgénérateur Superphénix de Creys-Malville (France). Avec d'autres composantes du mouvement anti-nucléaire suisse et français l'APAG a pris part au différentes actions judiciaires contre le démarrage et les divers redémarrages du surgénérateur.
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« Genève n'a pas de murailles contre les radiations »
Affiche pour un rassemblement contre le redémarrage de Superphénix à l'occasion de la fête de l'Escalade à Genève. Dessins représentant les savoyards escaladant la muraille.
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ContrAtom est une association, reconnue d’utilité publique, fondée à la fin de 1985 pour s’opposer à la foire du nucléaire (ENC’86) qui se tenait à Palexpo (Genève) en juin 1986. 3000 personnes manifestèrent contre cette foire et celle de 1990 (ENC’90) fut précipitamment déplacée à Lyon…
Le premier numéro du notre journal date de mars 1988. Il n’a cessé de paraître depuis avec une périodicité de quatre numéros par an.
L'association s'est engagée dans la campagne en faveur de l’initiative cantonale « l’énergie notre affaire » (Art. 160C, devenu 160E) en décembre 1986. Elle a cherchà à obtenir la fermeture du surgénérateur de Crey-Malville (France), notamment au sein du groupe «Européens contre Superphenix» qu'elle a fondé.
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« Joue pas avec Malville »
Affiche pour une manifestation à Anemasse contre le redémarrage de Superphénix à Creys-Malville.
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ContrAtom est une association, reconnue d’utilité publique, fondée à la fin de 1985 pour s’opposer à la foire du nucléaire (ENC’86) qui se tenait à Palexpo (Genève) en juin 1986. 3000 personnes manifestèrent contre cette foire et celle de 1990 (ENC’90) fut précipitamment déplacée à Lyon…
Le premier numéro du notre journal date de mars 1988. Il n’a cessé de paraître depuis avec une périodicité de quatre numéros par an.
L'association s'est engagée dans la campagne en faveur de l’initiative cantonale « l’énergie notre affaire » (Art. 160C, devenu 160E) en décembre 1986. Elle a cherchà à obtenir la fermeture du surgénérateur de Crey-Malville (France), notamment au sein du groupe «Européens contre Superphenix» qu'elle a fondé.
L'_Appel de Genève_ est lancé le 2 octobre 1978 en tant que manifeste. Les premiers signataires sont au nombre d'une trentaine, principalement des universitaires de Suisse romande. Il sera ensuite signé par près de 50'000 personnes en Europe occidentale («Qu'est-ce que l'APAG?» S1). Le 21 octobre 1978, les membres actifs du comité constituent l'Association pour l'Appel de Genève (APAG) avec pour but statutaire: «de diffuser l'Appel de Genève, de favoriser l'information de l'opinion publique sur le choix de société représenté par l'électronucléaire d'une part et les technologies douces, fondées sur les énergies renouvelables, d'autre part [...] et de promouvoir la démocratisation des choix énergétiques fondamentaux par l'ouverture d'un large débat dans l'opinion publique et la consultation des populations concernées.»
L'APAG a publié un _Livre jaune sur la société du plutonium == Yellow book on the Plutonium Society_ (éd. de La Baconnière). Elle a suscité l'organisation d'auditions publiques contradictoires par les autorités genevoises en 1982 dont les compte-rendus ont été publiés sous le titre _Enérgie et société. Les surgénérateurs, vrai ou faux problème?_ (Institut national genevois). Elle a coorganisé avec des associations de consommateurs un cycle de six conférences sur le thème «Quelle radioactivité dans nos assiettes?» en mars 1987. Elle a encoure publié un périodique, la _Gazette de l'APAG_ qui a été remplacé, dès 1990, par _Stratégies énergétiques, biosphère et société (SEBES)_.
L'APAG a également mandaté un expert en matière de sécurité nucléaire (Jochen Beneke) pour effectuer un rapport indépendant sur le niveau de sécurité du surgénérateur Superphénix de Creys-Malville (France). Avec d'autres composantes du mouvement anti-nucléaire suisse et français l'APAG a pris part au différentes actions judiciaires contre le démarrage et les divers redémarrages du surgénérateur.
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Affiche pour un appel aux dons en soutien à la campagne contre Creys-Malville. Photographie d'un crâne humain.
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ContrAtom est une association, reconnue d’utilité publique, fondée à la fin de 1985 pour s’opposer à la foire du nucléaire (ENC’86) qui se tenait à Palexpo (Genève) en juin 1986. 3000 personnes manifestèrent contre cette foire et celle de 1990 (ENC’90) fut précipitamment déplacée à Lyon…
Le premier numéro du notre journal date de mars 1988. Il n’a cessé de paraître depuis avec une périodicité de quatre numéros par an.
L'association s'est engagée dans la campagne en faveur de l’initiative cantonale « l’énergie notre affaire » (Art. 160C, devenu 160E) en décembre 1986. Elle a cherchà à obtenir la fermeture du surgénérateur de Crey-Malville (France), notamment au sein du groupe «Européens contre Superphenix» qu'elle a fondé.
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Affiche dénonçant la politique de Jacques Chirac et les essais nucléaires menés par l'État français à Moruroa en Polynésie française. L'affiche rebondi sur une action menée par des joueurs de l'équipe suisse de football, qui lors d'un match du championnat d'Europe ont déployé une banderole disant « Stop It Chirac ». L'affiche appelle à envoyer ses ordures « à ceux qui prennent la Polynésie pour une poubelle » : Jacques Chirac, l'Assemblée Nationale, l'Ambassade de France à Berne et le Consulat de France à Genève.
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ContrAtom est une association, reconnue d’utilité publique, fondée à la fin de 1985 pour s’opposer à la foire du nucléaire (ENC’86) qui se tenait à Palexpo (Genève) en juin 1986. 3000 personnes manifestèrent contre cette foire et celle de 1990 (ENC’90) fut précipitamment déplacée à Lyon…
Le premier numéro du notre journal date de mars 1988. Il n’a cessé de paraître depuis avec une périodicité de quatre numéros par an.
L'association s'est engagée dans la campagne en faveur de l’initiative cantonale « l’énergie notre affaire » (Art. 160C, devenu 160E) en décembre 1986. Elle a cherchà à obtenir la fermeture du surgénérateur de Crey-Malville (France), notamment au sein du groupe «Européens contre Superphenix» qu'elle a fondé.
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Appel à don de Contratom.
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ContrAtom est une association, reconnue d’utilité publique, fondée à la fin de 1985 pour s’opposer à la foire du nucléaire (ENC’86) qui se tenait à Palexpo (Genève) en juin 1986. 3000 personnes manifestèrent contre cette foire et celle de 1990 (ENC’90) fut précipitamment déplacée à Lyon…
Le premier numéro du notre journal date de mars 1988. Il n’a cessé de paraître depuis avec une périodicité de quatre numéros par an.
L'association s'est engagée dans la campagne en faveur de l’initiative cantonale « l’énergie notre affaire » (Art. 160C, devenu 160E) en décembre 1986. Elle a cherchà à obtenir la fermeture du surgénérateur de Crey-Malville (France), notamment au sein du groupe «Européens contre Superphenix» qu'elle a fondé.
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Affiche dénonçant l'absence de gestion de la question des déchets nucléaires par le Conseil fédéral. « Ce sont nos enfants qui devront s'en charger... »
Photographie d'une centrale nucléaire.
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ContrAtom est une association, reconnue d’utilité publique, fondée à la fin de 1985 pour s’opposer à la foire du nucléaire (ENC’86) qui se tenait à Palexpo (Genève) en juin 1986. 3000 personnes manifestèrent contre cette foire et celle de 1990 (ENC’90) fut précipitamment déplacée à Lyon…
Le premier numéro du notre journal date de mars 1988. Il n’a cessé de paraître depuis avec une périodicité de quatre numéros par an.
L'association s'est engagée dans la campagne en faveur de l’initiative cantonale « l’énergie notre affaire » (Art. 160C, devenu 160E) en décembre 1986. Elle a cherchà à obtenir la fermeture du surgénérateur de Crey-Malville (France), notamment au sein du groupe «Européens contre Superphenix» qu'elle a fondé.
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Affiche dénonçant la « catastrophe indélébile » de Tchernobyl. Photographie d'une centrale nucléaire.
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ContrAtom est une association, reconnue d’utilité publique, fondée à la fin de 1985 pour s’opposer à la foire du nucléaire (ENC’86) qui se tenait à Palexpo (Genève) en juin 1986. 3000 personnes manifestèrent contre cette foire et celle de 1990 (ENC’90) fut précipitamment déplacée à Lyon…
Le premier numéro du notre journal date de mars 1988. Il n’a cessé de paraître depuis avec une périodicité de quatre numéros par an.
L'association s'est engagée dans la campagne en faveur de l’initiative cantonale « l’énergie notre affaire » (Art. 160C, devenu 160E) en décembre 1986. Elle a cherchà à obtenir la fermeture du surgénérateur de Crey-Malville (France), notamment au sein du groupe «Européens contre Superphenix» qu'elle a fondé.
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Affiche appelant à un rassemblement devant le Consulat de France pour trois motifs : commémoration de la catastrophe de Tchernobyl ; contre le redémarrage de Superphénix à Creys-Malville ; pour la sortie du nucléaire à Genève.
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ContrAtom est une association, reconnue d’utilité publique, fondée à la fin de 1985 pour s’opposer à la foire du nucléaire (ENC’86) qui se tenait à Palexpo (Genève) en juin 1986. 3000 personnes manifestèrent contre cette foire et celle de 1990 (ENC’90) fut précipitamment déplacée à Lyon…
Le premier numéro du notre journal date de mars 1988. Il n’a cessé de paraître depuis avec une périodicité de quatre numéros par an.
L'association s'est engagée dans la campagne en faveur de l’initiative cantonale « l’énergie notre affaire » (Art. 160C, devenu 160E) en décembre 1986. Elle a cherchà à obtenir la fermeture du surgénérateur de Crey-Malville (France), notamment au sein du groupe «Européens contre Superphenix» qu'elle a fondé.
Né à Genève. École des Arts décoratifs à Genève (d'après Ariel Herbez, _Affiches BD_, 1996).
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« L'amour ou le nucléaire, il faut choisir »
Affiche pour une exposition de photographies et dessins de presse organisée par Contratom.
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Affiche pour une manifestation pour la fermeture de la centrale nucléaire de Mühleberg. Dessin de personnes manifestants dans les rues de Berne.
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ContrAtom est une association, reconnue d’utilité publique, fondée à la fin de 1985 pour s’opposer à la foire du nucléaire (ENC’86) qui se tenait à Palexpo (Genève) en juin 1986. 3000 personnes manifestèrent contre cette foire et celle de 1990 (ENC’90) fut précipitamment déplacée à Lyon…
Le premier numéro du notre journal date de mars 1988. Il n’a cessé de paraître depuis avec une périodicité de quatre numéros par an.
L'association s'est engagée dans la campagne en faveur de l’initiative cantonale « l’énergie notre affaire » (Art. 160C, devenu 160E) en décembre 1986. Elle a cherchà à obtenir la fermeture du surgénérateur de Crey-Malville (France), notamment au sein du groupe «Européens contre Superphenix» qu'elle a fondé.
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Affiche anti-nucélaire avec un collage du personnage dessiné par Exem pour l'affiche commandée par le Parti Socialiste genevois à l'occasion de l'élection du procureur général. Ce même personnage, représentant le procureur Bernard Bertossa, fut réutilisé par Exem dans une autre affiche, commandité par des amis squatters, et dénonçant l'attitude répressive de Bertossa vis à vis de ces derniers. (Source : Ariel Herbez, _Affiches BD_, 1996).
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voir AC_aff_0532
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« Ensemble, exigeons le redémarrage de Superphénix, la montée en puissance de Phénix et le développement de la filière nucléaire française ».
Affiche de la CGT pour le redémarrage de Superphénix. Photographie de la centrale nucléaire.
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ContrAtom est une association, reconnue d’utilité publique, fondée à la fin de 1985 pour s’opposer à la foire du nucléaire (ENC’86) qui se tenait à Palexpo (Genève) en juin 1986. 3000 personnes manifestèrent contre cette foire et celle de 1990 (ENC’90) fut précipitamment déplacée à Lyon…
Le premier numéro du notre journal date de mars 1988. Il n’a cessé de paraître depuis avec une périodicité de quatre numéros par an.
L'association s'est engagée dans la campagne en faveur de l’initiative cantonale « l’énergie notre affaire » (Art. 160C, devenu 160E) en décembre 1986. Elle a cherchà à obtenir la fermeture du surgénérateur de Crey-Malville (France), notamment au sein du groupe «Européens contre Superphenix» qu'elle a fondé.
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Affiche pour une manifestation probablement pour l'arrêt de Superphénix à la centrale nucléaire de Creys-Malville. Dessin de squelettes dansants. Est précisé en bas de l'affiche, sous la liste des soutiens : « d'autres soutiens n'ont pas pu être confirmés à temps vu les délais d'organisation fort brefs ».
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Affiche du _Rebrousse poil_ contre le nucléaire, représentant la photographie d'une prise électrique dont le câble est noué en nœud coulant.
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Affiche pour une manifestation antinucléaire à Lyon, 10 ans après la catastrophe de Tchernobyl, et pour l'arrêt de Superphénix. Départ groupé de Genève. Photographies des centrales et d'une manifestation contre Superphénix.
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ContrAtom est une association, reconnue d’utilité publique, fondée à la fin de 1985 pour s’opposer à la foire du nucléaire (ENC’86) qui se tenait à Palexpo (Genève) en juin 1986. 3000 personnes manifestèrent contre cette foire et celle de 1990 (ENC’90) fut précipitamment déplacée à Lyon…
Le premier numéro du notre journal date de mars 1988. Il n’a cessé de paraître depuis avec une périodicité de quatre numéros par an.
L'association s'est engagée dans la campagne en faveur de l’initiative cantonale « l’énergie notre affaire » (Art. 160C, devenu 160E) en décembre 1986. Elle a cherchà à obtenir la fermeture du surgénérateur de Crey-Malville (France), notamment au sein du groupe «Européens contre Superphenix» qu'elle a fondé.
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Affiche pour une manifestation le 27 avril 1991 à Genève, cinq ans après Tchernobyl.
« Malville redémarre
On agrandit Mühleberg
et notre consommation d'éléctricité continue d'augmenter »
Dessin représentant un gateau en forme de réacteur nucléaire avec une tête de mort dessus.
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Fin années 1980, différents formations issus du mouvement antinucléaire se regroupent sous le nom Sortir du nucléaire afin de soutenir la campagne pour deux initiatives populaires fédérales : « [Pour un abandon progressif de l'énergie atomique](https://www.bk.admin.ch/ch/f/pore/vi/vis191.html) » et « [Halte à la construction de centrales nucléaires (moratoire)](https://www.bk.admin.ch/ch/f/pore/vi/vis183.html) ». Le 24 janvier 1989, ce réseau est constitué en association à Lausanne ([sortirdunucleaire.ch, 2011](https://web.archive.org/web/20110727044902/http://www.sortirdunucleaire.ch/index.php?id=9)). Son but est à la fois d'arrêt du développement nucléaire suisse et de promotion d'alternative, notamment les énergies renouvelables. Dix ans plus tard, deux nouvelles initiatives sont lancées (« [Sortir du nucléaire](https://www.bk.admin.ch/ch/f/pore/vi/vis283.html) » et « [Moratoire plus](https://www.bk.admin.ch/ch/f/pore/vi/vis282.html) ») et ensuite rejetées par le corps électoral en 2003. Cependant, l'association n'arrête pas de rassembler plusieurs groupements écologistes (WWF, Greenpeace, Fondation suisse pour l’énergie, Médecins en faveur de l’environnement (MFE), Médecins pour la responsabilité sociale (PSR/IPPNW), Equiterre, ContrAtom, Association pour le développement des énergies renouvelables (ADER), Société suisse pour l’énergie solaire (SSES)), certains partis (Les Verts, Parti socialiste suisse, Parti suisse du travail) ainsi que « de nombreuses autres organisations » ([sortirdunucleaire.ch, 2002](https://web.archive.org/web/20021215100842fw_/http://www.sortirdunucleaire.ch/qui.htm)), tout en renouant en continu ses liens avec les réseaux antinucléaires en Suisse (alliance « [Non au nucléaire](https://web.archive.org/web/20100306082455/http://www.non-au-nucleaire.ch/) » publiant le journal _L'avenir est renouvelable_) et en France (réseau Sortir du nucléaire).
À présent, le siège se trouve à Genève.
Publié
Affiche pour un rassemblement à Berne, contre la construction de nouvelles centrales nucléaire. Appel à se munir d'un réveil. « Participez à un rassemblement retentissant ! »
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Publié
Publications internationales (échantillon).