Affiche pour une manifestation le 27 avril 1991 à Genève, cinq ans après Tchernobyl. « Malville redémarre On agrandit Mühleberg et notre consommation d'éléctricité continue d'augmenter » Dessin représentant un gateau en forme de réacteur nucléaire avec une tête de mort dessus.
Affiche pour une manifestation de soutien à Genève, « pour la libération immédiate des quatre séquestrés de la police fédérale ». Dessin d'un ange libérant un prisonnier, une fenêtre de la prison dans le fond a les barreaux brisés.
« Genève n'a pas de murailles contre les radiations » Affiche pour un rassemblement contre le redémarrage de Superphénix à l'occasion de la fête de l'Escalade à Genève. Dessins représentant les savoyards escaladant la muraille.
Affiche pour une manifestation antinucléaire à Genève, à propos de la centrale de Creys-Malville et des essais nucléaires menés par l'État français à Moruroa en Polynésie française. Dessin représentant deux personnages qui dansent, portant des masques avec le symbole de la radioactivité.
« Accompagnons les marcheurs de Malville - Paris » Affiche pour une manifestation puis un concert du Beau Lac de Bâle contre le redémarrage du réacteur Superphénix de la centrale de Creys-Malville. Dessin représentant un crane humain avec une casserole sur la tête, portant l'inscription « amène ta casserole » et un sifflet dans la bouche.
Affiche pour une manifestation probablement pour l'arrêt de Superphénix à la centrale nucléaire de Creys-Malville. Dessin de squelettes dansants. Est précisé en bas de l'affiche, sous la liste des soutiens : « d'autres soutiens n'ont pas pu être confirmés à temps vu les délais d'organisation fort brefs ».
« Témoignages Afrocolombiens » Affiche pour une rencontre avec Lidoro Hurtago du PCN et Diego Cardona des Amis de la Terre Colombie. Concerts. Dessin d'un militaire tenant une arme dans une main et le pistolet d'une pompe à essence dans l'autre. Des personnes fuient, une au sol.
Affiche pour une soirée et appelant à se rendre au Palais de justice à Genève pour soutenir les « 14 personnes condamnées pour l'occupation de la citibank ». Celles-ci avaient été arrêtées dans le cadre d'une occupation visant à dénoncer les massacres des Afrocolombiens et les implications de la banque américaine dans ceux-ci. Un dispositif policier important fut déployé au Tribunal de police le jour du procès.
Affiche pour une « soirée contre le plan colombien ». Débat en présence d'un Afrocolombien, soirée. Deux pictogrammes de la Colombie, montrant « les massacres paramilitaires » et les « investissements [de la citibank] dans les mégaprojets du capital ».