Affiche contre le redémarrage du réacteur Superphénix de la centrale de Creys-Malville. Citation du journal Libération sur des enfants qui tombent malades dans une ville proche de Tchernobyl. Le dessin de Topor représente une femme portant dans ses bras un bébé au corps troué duquel quelque chose fuit. Un homme les regarde. Le texte suivant est inscrit en haut du dessin : « - On l'appelle Centrale nucléaire parce qu'il fuit de partout. - Tant qu'il ne pète pas... ». En bas de l'image, le dessin d'un coq portant l'inscription « Mort au coq fou ».
« Il n'y a pas de folie plus grande que l'organisation présente de la vie » Affiche commémorative 4 ans après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. Photographie de manifestants à Minsk.
Appel au Conseiller fédéral Adolf Ogi pour une intervention au sujet du redémarrage du surgénérateur Superphénix à Creys-Malville. Explicitation des dangers du redémarrage. Liste d'individu·e·s signataires conséquente.
« À ceux qui ont décidé de rire avant de mourir, je dédie ce condensé d'un Guide pratique en cas de bombardement nucléaire. J'ai traduit, adapté et parfois même un peu poivré ces textes, qu'ont élaborés des savants très sérieux dans leur désespoir. » Affiche contenant un texte de Laurence Deonna et un dessin de P. Reymond.