« Pendant 40 ans, elle a payé pour l'armée qui allait "défendre" sa ville ». Photographie d'une femme quittant une maison en ruine, visiblement bombardée.
Affiche pour un festival à Berne pour soutenir les deux initiatives populaires 40 places d'armes ça suffit! et Pour une Suisse sans nouveaux avions de combat.
Groupe pour une Suisse sans armée (GSSA), Secrétariat romand
Affiche / mot-secret « STOP F/A-18 » et promotion de concerts, fêtes et d'une manifestation à Berne et à Genève à l'occasion de l'initiative populaire pour une Suisse sans nouveaux avions de combat et pour l'initiative « 40 places d'armes, ça suffit ».
Groupe pour une Suisse sans armée (GSSA), Secrétariat romand
Affiche pour l'initiative Pour une Suisse sans nouveaux avions de combat, représentant des avions en papier faits de billets de 1 000 CHF, dont l'arrière des ailes brûle.
Groupe pour une Suisse sans armée (GSSA), Secrétariat romand
« Sur le mur du franc » Affiche à l'occasion de l'initiative Pour une suisse sans nouveaux avions de combats représentant un mur de billets de 1'000 CHF transpercé, au dessus de nuages.
« Que choisit-on pour ouvrir une porte ? Et pour résoudre les conflits ? » Affiche pour l'initiative populaire « La solidarité crée la sécurité : pour un service civil volontaire pour la paix », visant à compléter la constitution fédérale avec plusieurs articles concernant le service civil, afin notamment qu'il prenne « des mesures en vue de la reconnaissance précoce et de la prévention des potentiels de violence, de la protection des conditions de la vie, de la résolution pacifique des conflits violents et de la reconstruction sociale » (source) et pour la deuxième initiative Pour une Suisse sans armée.
Groupe pour une Suisse sans armée (GSSA), Secrétariat romand
Affiche représentant un avion de chasse dans un losange rouge, barré d'une croix suisse blanche renversée. À l'occasion de l'initiative Pour une Suisse sans nouveaux avions de combat.
Affiche pour une manifestation contre le « projet Barras » à Berne et pour la « libération immédiate de tous les objecteurs de conscience ». Cette révision du Code pénal militaire est une décriminalisation partielle de l'objection de conscience qui « [permettrait] aux objecteurs d'effectuer, en lieu et place d'une peine privative de liberté, une astreinte à un travail d'intérêt général (d'une durée une fois et demie plus longue que le service militaire refusé) », des travaux d'intérêt public assumés jusque là par l'armée. (source : Année politique suisse). Caricature d'un officier de l'armée retenant un petit prisonnier en appuyant son pied sur son boulet.
Groupe pour une Suisse sans armée (GSSA), Secrétariat romand