Originaire de Bellinzone (Tessin, CH), né en Italie. Études secondaires à Lugano, études de théologie à Fribourg.
Prêtre catholique dès 1963, curé de la paroisse de la Saint-Trinité (Pâquis-Prieuré-Sécheron, Genève) où il mène une expérience de vie communautaire. Il défend des objecteurs de conscience, notamment Marcellin Barthassat, dont le procès connaît un certain retentissement dans la mesure où ce dernier est sous-officier au moment de son objection. Il fait partie des 31 prêtres et pasteurs qui refusent de payer la taxe militaire.
Giovanni Chicherio exerce la prêtrise jusqu'en 1975 (1972 selon certaines sources). Il quitte Genève pour l'Afrique du Nord où il rencontre des militants en lutte pour la libération de l'Angola.
Il dirige ensuite le Foyer des Unions chrétiennes de jeunes gens (UCJG), dans le quartier de la Jonction (Genève) et travaille comme secrétaire de la Ligue suisse des droits de l'homme jusqu'en 1987. Dès 1989, il est assistant social à la prison de Champ-Dollon et au Service d'application des peines et mesures (patronage).
Membre du Mouvement pour un service civil à la communauté (MSCC), du Mouvement socialiste autonome (MSA), puis de l'Organisation de lutte pour le communisme (OLC). Très actif dans le secteur de la solidarité internationale, il fonde Le Lien et la Centrale d'alerte.
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Les documents conservés ici concernent principalement l'engagement de Giovanni Chicherio dans des groupes chrétiens de gauche et dans le secteur de la solidarité internationale. Le fonds contient une importante collections d'affiches ainsi qu'une importante collection de publications.
Les publications ont été [cataloguées dans la bibliothèque (cliquer pour voir la liste)](http://bibliotheque.archivescontestataires.ch:11093/cgi-bin/koha/opac-shelves.pl?op=view&shelfnumber=11). Une partie des brochures est encore en cours de catalogage (26 novembre 2019).
Nuno Pereira
Ces documents, collectés par Giovanni Chicherio au cours de ses activités militantes et professionnelles, ont été remis par lui à Nuno Pereira dans le cadre des recherches menées par ce dernier pour sa thèse de doctorat. Nuno Pereira les a ensuite remis aux Archives contestataires.
Nuno Pereira, _Anti-impérialisme et nouvelle gauche radicale dans la Suisse des années 68_, thèse de doctorat, Université de Lausanne, 2015.
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Sept chemises classées de la façon suivante:
* Paroisse de la Trinité
* Communauté chrétienne du Lignon, occupation de l'église du Lignon
* Action dans l'église du Sacré-Coeur à l'occasion de la prise de fonction de Mgr Pierre Mamie
* Occupation de l'église de Notre-Dame
* Correspondance de et à Giovanni Chicherio
* Articles de presse
* Chrétiens du mouvement divers documents et contacts internationaux
Trois exemplaires du bulletin de Chrétiens du Mouvement ont été versés à la bibliothèque.
Assemblée constitutive le 12 mars 1971. Le groupe rassemble à son origine majoritairement des personnes issues de la gauche chrétienne (Jeunesse étudiante chrétienne, Parti indépendant chrétien-social, Parti démocrate chrétien) ainsi que des personnes proches de la social-démocratie (groupe Domaine Public, Ruth Dreifuss, Bernard Bertossa). Le MSA se situe, selon sa propre définition, «entre les groupuscules et les partis traditionnels» (Procès-verbal, 20 février 1971). Le Parti socialiste unifié (France) et le Partito socialista autonomo (Tessin) apparaissent comme des modèles.
En juillet 1971, le MSA publie un premier document théorique: _Thèses du mouvement socialiste autonome de Genève_ (23 juillet 1971). L'organisation se veut non autoritaire (bureau révocable en tout temps, régime d'assemblée, répartition des militants par secteur de lutte). En septembre 1971, le MSA devient «un mouvement de militants seulement et non plus également de sympathisants.» Les trois groupes de base sont: enseignement, logement et travailleurs. L'appartenance à l'un de ces groupes est requise pour avoir le statut de membre. En novembre 1972, sept militant.e. démissionnent au motif de l'emprise de plus en plus forte du marxisme-léninisme dans le mouvement. En 1973, un projet de fusion avec le Centre de liaison politique est élaboré, mais échoue. Le MSA cherchera également à se rapprocher du Centre d'information marxiste-léniniste (CIML) et du Parti communiste de Suisse / marxiste-léniniste sans plus de succès.
L'assemblée générale du 20 octobre 1973 décide de lancer une «campagne de critique-autocritique et d'approfondissement-rectification» selon la rhétorique m-l d'inspiration chinoise. Fin 1973, l'organisation est redéfinie: il existe des groupes dits tactiques, d'autres dits stratégiques et enfin un bureau politique. Plusieurs militants quittent le MSA suite à cette réorganisation.
En mai 1974, le tournant marxiste-léniniste est consacré par le changement de nom qui devient Organisation de lutte pour le communisme (OLC) dont l'objecrif central est ainsi formulé: «Ce que nous voulons, c'est une vie collective, libre, créative et heureuse. Seule l'abolition des classes le permettra.»
Fondée en 1974 sous la forme d'une transformation du Mouvement socialiste autonome (MSA), l'Organisation de lutte pour le communisme est un groupe marxiste-léniniste, pro-chinois. L'organisation interne est fortement centralisée: le Bureau politique assume clairement des tâches de direction du mouvement et non plus la seule coordination comme ce fût le cas au MSA. Le travail par cellules est introduit.
En octobre 1976, intervient une scission importante: une vingtaine de militant.e.s sur les 44 que compte l'organisation démissionnent en portant tout une série de critiques contre le Bureau politique. En 1977, l'OLC fusionne avec Rupture pour le communisme, la plus grande organisation marxiste-léniniste vaudoise. Le groupe des scissionnistes tentera de remettre sur pied une organisation, sans succès. Une partie d'entre eux s'investissent ensuite au sein de la librairie et maison d'édition Que faire?
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Documents internes des deux organisations (Bulletin interne, circulaires, rapports des groupes). Quelques notes personnelles.
En 1974, une vingtaine de personnes constituent une coopérative (Société coopérative d'information sur les mouvements de libération) dans le but de diffuser des imprimés au sujet des mouvements de libération. Le projet comprend une librairie, une bibliothèque, une imprimerie, un café et une maison d'édition. Le salariat est présenté comme une nécessité pour la pérennité du projet.
Le démarrage du projet repose sur un seul des membres fondateurs, les autres étant occupés à d'autres tâches. Il s'avère rapidement que la gestion courante n'est pas assurée correctement et, à l'été 1975, la coopérative est proche de la liquidation.
En juillet 1975, un document énonce les conditions d'une reprise de l'activité sous forme associative et sur la base du bénévolat. C'est sur ces bases qu'existera la Librairie Que faire? jusqu'à sa dissolution en 1995. Ce document critique aussi la manque de lien des activités de la coopérative avec les luttes locales. Le projet de reprise souligne l'importance d'articuler les luttes des mouvements de libération avec les luttes locales. Les personnes qui s'engagent dans ce projet de librairie dès l'été 1975 sont, en bonne partie, celles qui quitteront l'Organisation de lutte pour le communisme (OLC) l'année suivante.
La librairie disposera d'un local à la Place des Grottes (1201 Genève). Elle publiera une vingtaine d'ouvrages, parmi lesquels les premiers livres du collectif Interfoto.
Dès 1992, les membres de l'association font le constat d'un certain isolement et de la difficulté à mobiliser des bénévoles. Un questionnaire est envoyé assez largement, mais cette démarche, non plus que d'autres allant dans le même sens, n'apporte aucune perspective nouvelle. En 1995, la décision est prise de dissoudre l'association.
Les livres propriété de la librairie sont donnés en soutien à la création d'un centre culturel avec bibliothèque à Ouagadougou. L'argent restant est versé au quotidien _Le Courrier_. Les livres édités par Que faire? seront diffusé par les éditions d'En bas.
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* Organisation de lutte pour le communisme, «Pourquoi nous quittons Que faire ?», 3 décembre 1976.
* Correspondance entrante
* Listes de membres, divers documents administratifs, circulaires
* Documents de propagande (dépliant de présentation, dossiers thématiques, etc.)
* Débuts de la librairie, statuts, procès-verbaux d'assemblées générales
* Liste de documents sonores classés par zone géographique
* Projet de brochure du groupe de travail Luttes ouvrières de la librairie
* Nombreux exemplaires signés d'une pétition au Conseil fédéral au sujet du coup d'Etat au Chili
* Dossier de presse de _Nous étions les mouchards de Cincera_
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Documents collectés dans le cadre de l'activité de Giovanni Chicherio à la Ligue suisse des droits de l'homme (LSDH). Cette série ne reflète cependant pas le travail du secrétariat de la Ligue. Il s'agit probablement de dossiers conservés par hasard par Giovanni Chicherio au moment où il a quitté sa fonction de secrétaire. Un dossier (Iran) est d'ailleurs antérieur à son secrétariat.
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Bulletin du Comité suisse de défense des prisonniers politiques iraniens (1/3). Correspondance du Comité suisse de défense des prisonniers politiques iraniens, notamment avec Pearl Grobet de la Ligue suisse des droits de l'homme (2/3). Divers documents parmi lesquels: Rapport de Me Christian Grobet sur sa mission d'observateur judiciaire en Iran du 11 au 17 février 1972, correspondances de et à Jacques Mühlethaler, en sa qualité de président de la Ligue suisse des droits de l'homme, notamment une lettre autographe de Kazem Radjavi. Publications relatives à la situation en Iran (3/3).
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Documents adressés à la Ligue suisse des droits de l'homme par le Comité d'hommage aux anciens brigadistes internationaux suisses (convocations à des séances, procès-verbaux).
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Documentation autour de l'affaire Vanni Mulinaris (lettres circulaires de la Ligue des droits de l'homme et du citoyen (Paris), appels du comité de soutien, une publication contenant des lettres de prisons).
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Dossiers documentaires classés par nom de pays. Nicaragua (1/3), Chili (2/3), Sénégal (3/3).
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Affiche contre l'intervention américaine au Salvador. Dessin d'un homme brandissant une arme, son corps se fondant en une carte de l'Amérique centrale.
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Affiche du FRELIMO. Dessin représentant le peuple en lutte courant après un personnage moustachu avec une sacoche siglée du symbole du dollar américain. Date du 25 septembre encadrée.
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Affiche représentant un groupe de femmes.
[ « Où sont nos fils ? » ]
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Le Comité de solidarité est fondé après deux années d'activités diverses visant à faire connaître la répression exercée par la dictature brésilienne. Dans ce cadre, plusieurs meeting ont lieu en Suisse romande, notamment avec des dirigeants d'organisations brésiliennes interdites au Brésil (A. de Carvalho, L. Dowbor, novembre 1970, J.M. von der Weid de l'Union nationale des étudiants brésiliens). A l'été 1971, l'évêque Don Helder Camara donne des conférences à Fribourg et Zurich. Enfin, à Genève, une campagne de solidarité avec le leader paysan Manuel da Conceiçao est organisée.
Le Comité est fondé après ces deux ans d'activités. Il se donne en particulier pour but d'informer la population suisse sur la dictature brésilienne. Il édite à cet effet un [Bulletin](http://bibliotheque.archivescontestataires.ch:11093/cgi-bin/koha/opac-search.pl?q=an:279) ainsi que des brochures. Il organise également des expositions, des projections de films et des conférences.
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« La dictature réprime et torture
L'impérialisme pille et exploite
La bourgeoisie suisse en profite »
Affiche pour un meeting avec Jean-Marc Von Der Weid, économiste agricole et écologiste brésilien.
« Soutien à Manuel Conceição, militant paysan ”
Dessin représentant la carte du Brésil et des pièces de monnaie suisse tombant dans une tirelire en forme de cochon, siglée du drapeau suisse et du noms de plusieurs entreprises suisses : Omega, Nestlé, UBS...
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Publié
Affiche pour une exposition d'images Nianhua (images de nouvel-an) chinoises.
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Publié
Affiche sans texte, dessin de Rafael Enriquez représentant un soldat de dos, du sang sur la baïonnette de son fusil.
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Le groupe s'est formé lors d'un week-end de l'Action commune Tiers-Monde (7 et 8 avril 1973) au Cazard à Lausanne. Une première séance de travail a eu lieu le 10 avril 1973, en présence notamment de Georges Kolb, Jean-Philippe Jeannerat, Giovanni Chicherio, Gérard Dyens, Denis Muller, Michel Grenier, André Gachet, François de Vargas, Jacky Corthay, Jean Fischer et jean-Claude Luthy. L'objectif immédiat du groupe était d'organiser la réaction à la présence du Portugal comme hôte d'honneur du Comptoir suisse (septembre 1973). Dans ce but, il rémunère un secrétaire à mi-temps (Jacky Corthay) de mai à septembre 1973.
L'APAA continuera son action au-delà de la dénonciation de la présence du Portugal au Comptoir suisse, notamment en éditant un journal et en organisant des événements de popularisation des luttes pour l'indépendance de l'Angola, du Mozambique et de la Guinée-Bissau. Le secrétariat sera assurée ensuite pendant un certain temps par Pierre Szynalski.
En 1974, l'APAA participe à une campagne pour la reconnaissance de l'indépendance de la Guinée-Bissau, puis en faveur des prisonniers politiques de Namibie, du Zimbabwé et d'Afrique du Sud en collaboration avec le Mouvement Anti-apartheid de Suisse. L'APAA participe également à la semaine nationale de solidarité avec le PAIGC, le MPLA et le FRELIMO.
Le buts de l'APAA, tels que définis dans son bulletin, sont: «dénoncer le système colonialiste qui continue de dominer politiquement, militairement, économiquement ou culturellement certains pays d'Afrique; approfondir l'analyse de l'impérialisme et le rôle que le capitalisme suisse joue dans ce contexte; apporter un véritable soutien aux mouvements de libération et populariser leurs luttes» (Bulletin n°2, 1974).
Il existe des groupes cantonaux de l'APAA.
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«Soutient à l'indépendance de la Guinée-Bissau»
Affiche pour un meeting à Genève en présence de Jean Ziegler.
40x60
double de AC_aff_0648
Collectif d'affichistes composé notamment de Jacques Cocquio, Daniel Suter, Gérald Poussin, Philippe Sozzani, Carlos Rodriguez.
Affiches attribuées au Collectif du Chant continu dans le [Catalogue collectif des affiches suisses](https://www.posters.nb.admin.ch/discovery/search?query=any,contains,%22Chant%20continu%22&tab=LibraryCatalog&search_scope=MyInstitution&vid=41SNL_53_INST:posters&offset=0).
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« Indépendance totale pour le peuple angolais »
Affiche pour un film et un meeting de soutien au Mouvement populaire de libération de l'Angola.
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recto de AC_aff_0142_v
Publié
« Terra é vida : resistir, não migrar e a terra partilhar »
Images d'hommes, femmes et enfants suivant un troupeau de bêtes qui brise une barrière de barbelés pour rejoindre la nature. Carte du Brésil dans le fond. Texte en portugais au verso.
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Publié
« Terra é vida : resistir, não migrar e a terra partilhar »
Images d'hommes, femmes et enfants suivant un troupeau de bêtes qui brise une barrière de barbelés pour rejoindre la nature. Carte du Brésil dans le fond. Texte en portugais au verso.
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recto de AC_aff_0143_v
Publié
« Eu os plantarei em sua terra e não serão mais arrancados da terra que eu lhes dei, disse deus »
Groupe hissant un drapeau « Reforma agrária » sur une barrière de barbelé brisée. Une femme sème des graines dans la terre. Terres cultivées dans le fond. Texte en portugais au verso.
22x31
verso de AC_aff_0143_r
Publié
« Eu os plantarei em sua terra e não serão mais arrancados da terra que eu lhes dei, disse deus »
Groupe hissant un drapeau « Reforma agrária » sur une barrière de barbelé brisée. Une femme sème des graines dans la terre. Terres cultivées dans le fond. Texte en portugais au verso.
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Le groupe s'est formé lors d'un week-end de l'Action commune Tiers-Monde (7 et 8 avril 1973) au Cazard à Lausanne. Une première séance de travail a eu lieu le 10 avril 1973, en présence notamment de Georges Kolb, Jean-Philippe Jeannerat, Giovanni Chicherio, Gérard Dyens, Denis Muller, Michel Grenier, André Gachet, François de Vargas, Jacky Corthay, Jean Fischer et jean-Claude Luthy. L'objectif immédiat du groupe était d'organiser la réaction à la présence du Portugal comme hôte d'honneur du Comptoir suisse (septembre 1973). Dans ce but, il rémunère un secrétaire à mi-temps (Jacky Corthay) de mai à septembre 1973.
L'APAA continuera son action au-delà de la dénonciation de la présence du Portugal au Comptoir suisse, notamment en éditant un journal et en organisant des événements de popularisation des luttes pour l'indépendance de l'Angola, du Mozambique et de la Guinée-Bissau. Le secrétariat sera assurée ensuite pendant un certain temps par Pierre Szynalski.
En 1974, l'APAA participe à une campagne pour la reconnaissance de l'indépendance de la Guinée-Bissau, puis en faveur des prisonniers politiques de Namibie, du Zimbabwé et d'Afrique du Sud en collaboration avec le Mouvement Anti-apartheid de Suisse. L'APAA participe également à la semaine nationale de solidarité avec le PAIGC, le MPLA et le FRELIMO.
Le buts de l'APAA, tels que définis dans son bulletin, sont: «dénoncer le système colonialiste qui continue de dominer politiquement, militairement, économiquement ou culturellement certains pays d'Afrique; approfondir l'analyse de l'impérialisme et le rôle que le capitalisme suisse joue dans ce contexte; apporter un véritable soutien aux mouvements de libération et populariser leurs luttes» (Bulletin n°2, 1974).
Il existe des groupes cantonaux de l'APAA.
Publié
29x41
Affiche pour une exposition et des projections de films à Lausanne.
« Soutien aux peuples en lutte pour leur libération ! »
Photographie d'une femme portant son enfant en écharpe dans le dos.
Publié
« Témoignage de 6 anciens prisonniers politiques appartenant à la 3ème composante et au gouvernement révolutionnaire provisoire de la République du sud-Vietnam ».
Affiche pour une conférence publique et la projection du film _Nos enfants qui reviennent_ à la salle du Faubourg à Genève. Liste d'organismes co-organisateurs conséquente sur l'affiche.
30x42
En 1974, une vingtaine de personnes constituent une coopérative (Société coopérative d'information sur les mouvements de libération) dans le but de diffuser des imprimés au sujet des mouvements de libération. Le projet comprend une librairie, une bibliothèque, une imprimerie, un café et une maison d'édition. Le salariat est présenté comme une nécessité pour la pérennité du projet.
Le démarrage du projet repose sur un seul des membres fondateurs, les autres étant occupés à d'autres tâches. Il s'avère rapidement que la gestion courante n'est pas assurée correctement et, à l'été 1975, la coopérative est proche de la liquidation.
En juillet 1975, un document énonce les conditions d'une reprise de l'activité sous forme associative et sur la base du bénévolat. C'est sur ces bases qu'existera la Librairie Que faire? jusqu'à sa dissolution en 1995. Ce document critique aussi la manque de lien des activités de la coopérative avec les luttes locales. Le projet de reprise souligne l'importance d'articuler les luttes des mouvements de libération avec les luttes locales. Les personnes qui s'engagent dans ce projet de librairie dès l'été 1975 sont, en bonne partie, celles qui quitteront l'Organisation de lutte pour le communisme (OLC) l'année suivante.
La librairie disposera d'un local à la Place des Grottes (1201 Genève). Elle publiera une vingtaine d'ouvrages, parmi lesquels les premiers livres du collectif Interfoto.
Dès 1992, les membres de l'association font le constat d'un certain isolement et de la difficulté à mobiliser des bénévoles. Un questionnaire est envoyé assez largement, mais cette démarche, non plus que d'autres allant dans le même sens, n'apporte aucune perspective nouvelle. En 1995, la décision est prise de dissoudre l'association.
Les livres propriété de la librairie sont donnés en soutien à la création d'un centre culturel avec bibliothèque à Ouagadougou. L'argent restant est versé au quotidien _Le Courrier_. Les livres édités par Que faire? seront diffusé par les éditions d'En bas.
Publié
« Librairie populaire : livres, revues, disques, affiches sur les luttes des travailleurs et des peuples en suisse et dans le monde ».
Collage représentant la salle d'étude de la Bibliothèque de Genève et un soldat lisant un livre.
30x42
Publié
Policier casqué (croix suisse sur le casque) et en lunettes noires pourvu d'un bouclier et d'une matraque. Sur le bouclier figure le slogan PMI [Police mobile intercantonale]: Non! Le motif rappelle une célèbre affiche de l'Atelier des Beaux-Arts représentant un CRS pourvu d'une matraque qu'il brandit et d'un bouclier sur lequel figurent le sigle SS.
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En septembre 1970, quelques habitants sensibles à la transformation rapide de leur quartier ont profité des votations sur l'initiative pour le droit au logement pour se réunir et discuter de l'avenir des Eaux-Vives. Son but est de rassembler toujours plus d'habitants, de soutenir et d'encourager la résistance et la défense collective des locataires. Le GHEV constitue un inventaire des faits relatifs à la dégradation du quartier et recherche les moyens de lutter contre ces dégradations ainsi que de les contrôler.
Publié
Affiche appelant à protester contre l'urbanisation du quartier des Minoteries à Plainpalais, en plantant un peuplier. Contre l'abattage des arbres.
« Devant les futures logements pour personnes agées, là où l'État veut nous imposer des nouvelles routes. »
Dessin d'un arbre qui pousse au milieu des imeubles et des voitures.
29x42
recto de AC_aff_0149_v
Publié
Affiche pour un rassemblement devant la délégation permanente d'Espagne pour protester contre la politique de répression menée par Juan Carlos et plus particulièrement contre les assassinats des antifascistes. Texte au verso.
27x42
verso de de AC_aff_0149_r
Publié
Affiche pour un rassemblement devant la délégation permanente d'Espagne pour protester contre la politique de répression menée par Juan Carlos et plus particulièrement contre les assassinats des antifascistes. Texte au verso.
27x42
Le groupe s'est formé lors d'un week-end de l'Action commune Tiers-Monde (7 et 8 avril 1973) au Cazard à Lausanne. Une première séance de travail a eu lieu le 10 avril 1973, en présence notamment de Georges Kolb, Jean-Philippe Jeannerat, Giovanni Chicherio, Gérard Dyens, Denis Muller, Michel Grenier, André Gachet, François de Vargas, Jacky Corthay, Jean Fischer et jean-Claude Luthy. L'objectif immédiat du groupe était d'organiser la réaction à la présence du Portugal comme hôte d'honneur du Comptoir suisse (septembre 1973). Dans ce but, il rémunère un secrétaire à mi-temps (Jacky Corthay) de mai à septembre 1973.
L'APAA continuera son action au-delà de la dénonciation de la présence du Portugal au Comptoir suisse, notamment en éditant un journal et en organisant des événements de popularisation des luttes pour l'indépendance de l'Angola, du Mozambique et de la Guinée-Bissau. Le secrétariat sera assurée ensuite pendant un certain temps par Pierre Szynalski.
En 1974, l'APAA participe à une campagne pour la reconnaissance de l'indépendance de la Guinée-Bissau, puis en faveur des prisonniers politiques de Namibie, du Zimbabwé et d'Afrique du Sud en collaboration avec le Mouvement Anti-apartheid de Suisse. L'APAA participe également à la semaine nationale de solidarité avec le PAIGC, le MPLA et le FRELIMO.
Le buts de l'APAA, tels que définis dans son bulletin, sont: «dénoncer le système colonialiste qui continue de dominer politiquement, militairement, économiquement ou culturellement certains pays d'Afrique; approfondir l'analyse de l'impérialisme et le rôle que le capitalisme suisse joue dans ce contexte; apporter un véritable soutien aux mouvements de libération et populariser leurs luttes» (Bulletin n°2, 1974).
Il existe des groupes cantonaux de l'APAA.
Publié
Affiche pour une fête et un meeting en soutien aux mouvement de libération en Afrique australe à l'occasion de la semaine nationale de solidarité. Dessin du continent africain avec un poing serré à l'intérieur.
41x50
Publié
« Reconnaissance de la Guinée-Bissau »
« Après le comptoir : mission commerciale portugaise en Suisse »
35x47
Publié
« Le miracle économique par le sang du peuple »
Affiche pour les luttes paysannes au Brésil et sur l'emprisonnement du « leader paysan » Manuel da Conceiçao.
33x45
Publié
Affiche représentant le mot « Anistia [Amnistie] » dans arc-en-ciel. En bas de l'arc-en-ciel se trouve une chaine et un boulet de forçat dans lequel se reflète un homme devant les grilles ouvertes d'une prison.
45x62
Publié
Affiche syndicale. Photographie de travailleurs en lutte et texte en portugais.
44x64
Le groupe s'est formé lors d'un week-end de l'Action commune Tiers-Monde (7 et 8 avril 1973) au Cazard à Lausanne. Une première séance de travail a eu lieu le 10 avril 1973, en présence notamment de Georges Kolb, Jean-Philippe Jeannerat, Giovanni Chicherio, Gérard Dyens, Denis Muller, Michel Grenier, André Gachet, François de Vargas, Jacky Corthay, Jean Fischer et jean-Claude Luthy. L'objectif immédiat du groupe était d'organiser la réaction à la présence du Portugal comme hôte d'honneur du Comptoir suisse (septembre 1973). Dans ce but, il rémunère un secrétaire à mi-temps (Jacky Corthay) de mai à septembre 1973.
L'APAA continuera son action au-delà de la dénonciation de la présence du Portugal au Comptoir suisse, notamment en éditant un journal et en organisant des événements de popularisation des luttes pour l'indépendance de l'Angola, du Mozambique et de la Guinée-Bissau. Le secrétariat sera assurée ensuite pendant un certain temps par Pierre Szynalski.
En 1974, l'APAA participe à une campagne pour la reconnaissance de l'indépendance de la Guinée-Bissau, puis en faveur des prisonniers politiques de Namibie, du Zimbabwé et d'Afrique du Sud en collaboration avec le Mouvement Anti-apartheid de Suisse. L'APAA participe également à la semaine nationale de solidarité avec le PAIGC, le MPLA et le FRELIMO.
Le buts de l'APAA, tels que définis dans son bulletin, sont: «dénoncer le système colonialiste qui continue de dominer politiquement, militairement, économiquement ou culturellement certains pays d'Afrique; approfondir l'analyse de l'impérialisme et le rôle que le capitalisme suisse joue dans ce contexte; apporter un véritable soutien aux mouvements de libération et populariser leurs luttes» (Bulletin n°2, 1974).
Il existe des groupes cantonaux de l'APAA.
Publié
Affiche pour une campagne de solidarité avec les prisonniers politiques d'Afrique du Sud, de Namibie et du Zimbabwe. Photographies : Nelson Mandela, répression des grèves en Afrique du Sud et protestation contre les « élections bidons » en Namibie.
Texte au verso sur les luttes et sur le procès de Rivonia.
43x62
verso de AC_aff_0155_r
Le groupe s'est formé lors d'un week-end de l'Action commune Tiers-Monde (7 et 8 avril 1973) au Cazard à Lausanne. Une première séance de travail a eu lieu le 10 avril 1973, en présence notamment de Georges Kolb, Jean-Philippe Jeannerat, Giovanni Chicherio, Gérard Dyens, Denis Muller, Michel Grenier, André Gachet, François de Vargas, Jacky Corthay, Jean Fischer et jean-Claude Luthy. L'objectif immédiat du groupe était d'organiser la réaction à la présence du Portugal comme hôte d'honneur du Comptoir suisse (septembre 1973). Dans ce but, il rémunère un secrétaire à mi-temps (Jacky Corthay) de mai à septembre 1973.
L'APAA continuera son action au-delà de la dénonciation de la présence du Portugal au Comptoir suisse, notamment en éditant un journal et en organisant des événements de popularisation des luttes pour l'indépendance de l'Angola, du Mozambique et de la Guinée-Bissau. Le secrétariat sera assurée ensuite pendant un certain temps par Pierre Szynalski.
En 1974, l'APAA participe à une campagne pour la reconnaissance de l'indépendance de la Guinée-Bissau, puis en faveur des prisonniers politiques de Namibie, du Zimbabwé et d'Afrique du Sud en collaboration avec le Mouvement Anti-apartheid de Suisse. L'APAA participe également à la semaine nationale de solidarité avec le PAIGC, le MPLA et le FRELIMO.
Le buts de l'APAA, tels que définis dans son bulletin, sont: «dénoncer le système colonialiste qui continue de dominer politiquement, militairement, économiquement ou culturellement certains pays d'Afrique; approfondir l'analyse de l'impérialisme et le rôle que le capitalisme suisse joue dans ce contexte; apporter un véritable soutien aux mouvements de libération et populariser leurs luttes» (Bulletin n°2, 1974).
Il existe des groupes cantonaux de l'APAA.
Publié
Affiche pour une campagne de solidarité avec les prisonniers politiques d'Afrique du Sud, de Namibie et du Zimbabwe. Photographies : Nelson Mandela, répression des grèves en Afrique du Sud et protestation contre les « élections bidons » en Namibie.
Texte au verso sur les luttes et sur le procès de Rivonia.
43x62
Publié
Affiche pour une assemblée-débat sur le thème [Le vrai visage du Brésil] en présence de Giovanni Chiccherio et Carlo Galli.
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Publié
Affiche pour une messe à Mosteiro São Bento en mémoire des morts et des disparus à l'occasion du Deuxième Congrès national pour l'amnistie. Citation de l'Évangile de Luc chapitre 4 verset 17-21. «Ampla, Geral e Irrestrita».
42x57
Publié
Fondé en mai 1973, Le Lien entend être: une base d'information, un soutien aux actions de solidarité et une possibilité d'accueil et de rencontre. Il s'agit d'une association au sens du Code civil suisse, domiciliée Rue Rotschild 52. L'association compte une salariée. Les membres fondateurs sont Jean-Marc Barthassat, Eva Bétrisey, Marie Paule Boget, Jean Chicherio, Jean-Pierre Oberson, François Waeber.
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Documentation interne et publications du Lien, centre de rencontre, d'information et de solidarité. Il s'agit de procès-verbaux du comité, de circulaire et publications destinées aux membres, de diverses convocations et invitations, de correspondance administrative. La dernière chemise concerne également la Centrale d'alerte suisse romande (voir série 09).
La Centrale d'alerte a été fondée à la suite de deux week-end de réflexion de l'Action commune Tiers-monde (ACTM) à l'automne 1972. Il s'agit d'une association au sens du Code civil suisse. L'assemblée générale constitutive a eu lieu le 20 juin 1973 à Lausanne. L'association dispose de statuts et d'un règlement intérieur qui précise les objectifs et les critères de choix des actions soutenues. Les affaires courantes sont gérées par un comité, mais les décision de soutenir une action sont prise par un conseil de décision, différent du comité. L'association a des membres qui sont des groupements souhaitant utiliser ses services.
L'association s'envisage comme un «outil d'amplification». Le principe de fonctionnement est que les membres soumettent une action dont ils voudraient qu'elle soit relayée par la Centrale d'alerte. Celle-ci leur fournit des enveloppes adressées. Elle dispose d'un fichier de plus de 6000 adresses. La prestation est payante: les frais sont facturés (enveloppes, adressage) et la Centrale d'alerte perçoit 3% des montants collectés par la campagne pour assurer son propre fonctionnement. (Document Qu'est-ce que la centrale d'alerte, chemise 1).
Les objectifs de la Centrale d'alerte sont: «Découvrir l'injustice à laquelle nous participons et mettre en oeuvre une solidarité avec les opprimés. Provoquer des changements politiques et économiques, si possible par des moyens légaux; transformer notre société basée essentiellement sur le profit et l'oppression pour instaurer une société plus juste pour tous.» (Règlement intérieur, chemise 1).
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La série contient:
* Statuts, règlement intérieur, documents de présentation (1/5)
* Liste des membres du conseil de décision (2/5)
* Procès-verbaux d'assemblées générale, rapports annuels, documents comptables, circulaires aux membres (3/5)
* Exemples de documents relayés
* Demande de relai par le Comité contre Verbois nucléaire
Le groupe s'est formé lors d'un week-end de l'Action commune Tiers-Monde (7 et 8 avril 1973) au Cazard à Lausanne. Une première séance de travail a eu lieu le 10 avril 1973, en présence notamment de Georges Kolb, Jean-Philippe Jeannerat, Giovanni Chicherio, Gérard Dyens, Denis Muller, Michel Grenier, André Gachet, François de Vargas, Jacky Corthay, Jean Fischer et jean-Claude Luthy. L'objectif immédiat du groupe était d'organiser la réaction à la présence du Portugal comme hôte d'honneur du Comptoir suisse (septembre 1973). Dans ce but, il rémunère un secrétaire à mi-temps (Jacky Corthay) de mai à septembre 1973.
L'APAA continuera son action au-delà de la dénonciation de la présence du Portugal au Comptoir suisse, notamment en éditant un journal et en organisant des événements de popularisation des luttes pour l'indépendance de l'Angola, du Mozambique et de la Guinée-Bissau. Le secrétariat sera assurée ensuite pendant un certain temps par Pierre Szynalski.
En 1974, l'APAA participe à une campagne pour la reconnaissance de l'indépendance de la Guinée-Bissau, puis en faveur des prisonniers politiques de Namibie, du Zimbabwé et d'Afrique du Sud en collaboration avec le Mouvement Anti-apartheid de Suisse. L'APAA participe également à la semaine nationale de solidarité avec le PAIGC, le MPLA et le FRELIMO.
Le buts de l'APAA, tels que définis dans son bulletin, sont: «dénoncer le système colonialiste qui continue de dominer politiquement, militairement, économiquement ou culturellement certains pays d'Afrique; approfondir l'analyse de l'impérialisme et le rôle que le capitalisme suisse joue dans ce contexte; apporter un véritable soutien aux mouvements de libération et populariser leurs luttes» (Bulletin n°2, 1974).
Il existe des groupes cantonaux de l'APAA.
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Tracts, déclarations, annonces de manifestions et pétitions (1/4); documents internes: procès-verbaux, convocations, rapports du secrétariat (2/4); documents provenant d'autres groupes ou de coordinations et correspondance (3/4); études et textes d'analyse dont des notes d'un séminaire de Jean Ziegler sur le PAIGC.
Le Comité de solidarité est fondé après deux années d'activités diverses visant à faire connaître la répression exercée par la dictature brésilienne. Dans ce cadre, plusieurs meeting ont lieu en Suisse romande, notamment avec des dirigeants d'organisations brésiliennes interdites au Brésil (A. de Carvalho, L. Dowbor, novembre 1970, J.M. von der Weid de l'Union nationale des étudiants brésiliens). A l'été 1971, l'évêque Don Helder Camara donne des conférences à Fribourg et Zurich. Enfin, à Genève, une campagne de solidarité avec le leader paysan Manuel da Conceiçao est organisée.
Le Comité est fondé après ces deux ans d'activités. Il se donne en particulier pour but d'informer la population suisse sur la dictature brésilienne. Il édite à cet effet un [Bulletin](http://bibliotheque.archivescontestataires.ch:11093/cgi-bin/koha/opac-search.pl?q=an:279) ainsi que des brochures. Il organise également des expositions, des projections de films et des conférences.
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Notes manuscrites, documents d'orientation politique. Quelques documents autour d'une intervention de Giovanni Chicherio à Bizzozero (Varese, Italie) au sujet du Brésil au nom du Comité de solidarité.
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Un revue de presse relative aux refus collectifs de servir (1/2). Un bref dossier concernant le procès pour objection de conscience de Marcellin Barthassat (2 octobre 1969), défendu par Giovanni Chicherio, ce dossier contient notamment le texte de la défense de M. Barthassat.
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Documents collectés durant les activités de l'Assemblée des habitants de Plainpalais, principalement autour de la plantation d'un arbre en protestation contre des abattages intervenus sur la rue Dancet.
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Par un courrier du 7 février 1972, 32 prêtres ou pasteurs suisses affirment qu'ils refuseront désormais «tout service armé ou la taxe militaire.» Le courrier est rendu public et accompagné d'un dossier critiquant l'armée suisse et la politique de défense de la Suisse. À la suite de cette prise de position, un groupe de 43 prêtres ou pasteurs se forme pour soutenir les 32. Ce mouvement suscite d'importantes discussion au sein de l'Église catholique et de l'opinion publique.
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Ce dossier retrace l'organisation du soutien au Groupe des 32. Le comité de soutien, nommé Groupe des 43 sur la base d'une première liste de soutiens contenant 43 noms de prêtres et de pasteurs, était animé principalement par Giovanni Chicherio et Jean Rouget. Le dossier contient une revue de presse très complète, de la correspondance, des travaux pour un séminaire de théologie morale sur le Groupe des 32, des notes manuscrites.
Ce dossier a été versé du début de l'année 2023 par Consuelo Frauenfelder qui l'avait reçu de Giovanni Chicherio dans le cadre de recherches entreprises sur la gauche chrétienne dans les années 1968 en Suisse romande.
* D. von Burg, «L'affaire des 32: analyse d'un cas particulier des relations Église-État», _Choisir_ n°159 février 1973, pp. 15-18.
* JP Alamand et G. de Rahm, «Éléments pour une analyse des systèmes de valeurs en Suisse: analyse de presse des réactions au refus à l'armée des 32», Communication au IIe congrès suisse de sociologie, Genève 1973.
* _Le Courrier_ 19-20 février 1972, p. 16.
* _Vivre_, n°3, mai 1972, pp. 1-4.