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« En 1983, des étudiantes et enseignantes d’universités suisses fondent une association scientifique féministe pour promouvoir le développement de la recherche féministe en Suisse et pour procurer un lieu favorisant le débat sur la question des rapports entre femmes, féminisme, mouvement d’une part, sciences et recherche d’autre part ». (Source).

Selon un prospectus, Femme Tour est « un réseau de 50 historiennes, muses des neuf tours de villes historiques qui seront présentés l'été 1998. Les villes de Aarau, Bâle, Berne, Fribourg, Genève, Lucerne, Winterthur, Zurich et Zug seront au rendez-vous pour 200 promenades en ville – histoire de raconter la vie des femmes de manière instructive et ludique. Les tours s'interrogent sur les espaces d'action des femmes dans les années de l'Helvétique et de la fondation de l'État fédéral (1798-1848) ».

De 1912 à 1960 : Le mouvement féministe : organe officiel des publications de l'Alliance nationale des sociétés féminines suisses.
de 1961 à 2001 : Femmes suisses puis Femmes en Suisse.
de 2001 à 2009 : L'ÉmiliE.
Historique : voir notice d'autorité de L'Émilie.

En réaction à la Conférence de l’ONU sur le désarmement tenue à New York, un groupe de Femmes pour la paix se constitue à Genève.
Source : Femmes . Pouvoir . Histoire. Histoire de l’égalité en Suisse de 1848 à 2000, Commission fédérale pour les questions féminines, Berne, 2001.

Les Femmes en noir de Genève se sont constituées en association en 1993 pour soutenir des projets d’aide thérapeutique en Bosnie centrale. De 1993 à 1999, elles ont organisé des rassemblements contre la guerre en ex-Yougoslavie, contre l'occupation de la Palestine par Israël, contre le racisme, le nationalisme et les viols. Elles organisent à l’heure actuelle des rassemblements hebdomadaires en ville de Genève, en soutien aux femmes palestiniennes et israéliennes engagées pour la paix. (Source)