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Notice d'autorité
Collectivité

Action syndicale universitaire (ASU)

  • Collectivité
  • 1962-1969

L'Action syndicale universitaire est fondée en février 1962 et constitue une scission du Mouvement démocratique des étudiants (MDE). Elle regroupe des membres du MDE, notamment des étudiant.e.s membres ou proches du Parti du Travail, des membres d'associations facultaires et «certains dirigeants des communautés catholiques et protestantes de l'Université.» (Brochure Action syndicale universitaire: syndicalisme étudiant, Genève, s.d.9 L'ASU constitue des listes de candidats aux instances de l'Association générale des étudiants (AGE), une structure corporatiste dont sont automatiquement membres les étudiant.e.s immatriculé.e.s. A plusieurs reprises, l'ASU obtient la majorité dans les organes décisionnels de l'AGE à laquelle elle redonne une dynamique. En 1966, l'ASU décide de quitter l'AGE. Les circonstances entourant la Loi sur la démocratisation des études (1966) conduisent l'ASU à constituer un comité d'action large, c'est le Comité d'action pour la démocratisation des études (CADE). L'ASU ne survit pas au mouvement de 1968-1969.

Comité d'aide et d'orientation des victimes de l'amiante (CAOVA)

  • Collectivité
  • 2002-2020

Le Comité d'aide et d'orientation des victimes de l'amiante (CAOVA) fut fondé en 2002 par François Iselin, son épouse Pierrette et quelques autres personnes. Ses objectifs primaires étaient de sensibiliser les autorités et l'opinion publique au drame humain causé par des décennies d'utilisation de l'amiante dans l'industrie du bâtiment, ainsi que de fournir un soutien psychologique, scientifique et juridique aux personnes souffrant des conséquences de l'exposition à ce minéral.
Outre la publication régulière du bulletin d'information "AlerteAmiante" et l'organisation d'évènements publics de tous genres (conférences, tables rondes, témoignages), le CAOVA se chargeait de soutenir les victimes de l'amiante dans leur bataille judiciaire pour l'obtention d'indemnisations en mettant à leur disposition un(e) avocat(e) et l'expertise scientifique et technique de F. Iselin.
N'étant plus sollicité depuis la création du Fonds d'indemnisation des victimes de l'amiante (EFA) en 2017, et manquant de moyens financiers comme de militants actifs, le CAOVA a été dissout le 5 septembre 2020.

Sortir du nucléaire (coordination romande)

  • 287301
  • Collectivité
  • 1989-

Fin années 1980, différents formations issus du mouvement antinucléaire se regroupent sous le nom Sortir du nucléaire afin de soutenir la campagne pour deux initiatives populaires fédérales : « Pour un abandon progressif de l'énergie atomique » et « Halte à la construction de centrales nucléaires (moratoire) ». Le 24 janvier 1989, ce réseau est constitué en association à Lausanne (sortirdunucleaire.ch, 2011). Son but est à la fois d'arrêt du développement nucléaire suisse et de promotion d'alternative, notamment les énergies renouvelables. Dix ans plus tard, deux nouvelles initiatives sont lancées (« Sortir du nucléaire » et « Moratoire plus ») et ensuite rejetées par le corps électoral en 2003. Cependant, l'association n'arrête pas de rassembler plusieurs groupements écologistes (WWF, Greenpeace, Fondation suisse pour l’énergie, Médecins en faveur de l’environnement (MFE), Médecins pour la responsabilité sociale (PSR/IPPNW), Equiterre, ContrAtom, Association pour le développement des énergies renouvelables (ADER), Société suisse pour l’énergie solaire (SSES)), certains partis (Les Verts, Parti socialiste suisse, Parti suisse du travail) ainsi que « de nombreuses autres organisations » (sortirdunucleaire.ch, 2002), tout en renouant en continu ses liens avec les réseaux antinucléaires en Suisse (alliance « Non au nucléaire » publiant le journal L'avenir est renouvelable) et en France (réseau Sortir du nucléaire).
À présent, le siège se trouve à Genève.

Solidarité femmes

  • Collectivité
  • 10 janvier 1977-2001

« Le 10 janvier 1977, Geneviève Piret fonde Terre des Femmes, premier mouvement de prise en charge de la violence subie par les femmes à
Genève. [...|Le 12 décembre 1977, le mouvement se constitue en association [Solidarité femmes en détresse] et élit un comité de sept personnes. [...] En 1986 Solidarité Femmes en détresse change de nom et devient Solidarité Femmes. » (Source)

Les Nanas Radioteuses

  • Collectivité
  • 1978-?

Partage une fréquence avec Radio Canaille. Environ 6h d'émissions par semaine.

Groupe Parents petite enfance

  • Collectivité

Formé à la suite d'une pétition à la Ville de Genève pour augmenter les places de crèche.

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