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Notice d'autorité
Collectivité Antinucléaire

Appel à la raison (lettre ouverte)

  • Collectivité
  • 1993

L'appel à la raison est une lettre ouverte signée dans un premier temps par 126 scientifiques considérant qu' "il faut savoir terminer l'expérience Superphénix coûteuse, dangereuse et inutile". L'appel est rédigé par le CECSR et est rendu public en décembre 1993 "car la décision d'arrêt ou de redémarrage de Superphénix doit finalement être prise en 1994".

Organisationen til Oplysning om Atomkraft (OOA)

  • Collectivité
  • 1974 - 2000

L'Organisation pour l'information sur l'énergie nucléaire (OOA) était une organisation danoise contre l'énergie nucléaire, fondée le 31 janvier 1974. En 1994 elle participe à organiser une marche de protestation contre le redémarrage de la centrale de Malville à Matignon. L'OOA détenait les droits d'auteur du logo "Nucléaire? Non merci" jusque en 2000.

Groupement de Scientifiques pour l'Informatique sur l'Energie Nucléaire (GSIEN)

  • Collectivité
  • 1975 - encore en activité

Le GSIEN est une association créée en 1975, suite à l'appel des 400, appel de scientifiques dont 200 physiciens nucléaires. Composé de scientifiques, d’experts, de travailleurs du nucléaire et de militants, le Groupe surveille l'industrie nucléaire depuis 1976 et intervient régulièrement dans les organismes officiels où il est représenté et répond aux nombreuses demandes du public mais aussi des enseignants, journalistes et associations écologistes. Il travaille aussi directement avec les Commissions Locales. Il publie également un journal "La Gazette Nucléaire" et a édité plusieurs livres.

Association Vivre sans Malville

  • Collectivité
  • s.d.

L'association Vivre sans Malville est basée à Lausanne et active en tout cas en 1991.

Association pour l'Appel de Genève (APAG)

  • 256985
  • Collectivité
  • 1978-2005

L'Appel de Genève est lancé le 2 octobre 1978 en tant que manifeste. Les premiers signataires sont au nombre d'une trentaine, principalement des universitaires de Suisse romande. Il sera ensuite signé par près de 50'000 personnes en Europe occidentale («Qu'est-ce que l'APAG?» S1). Le 21 octobre 1978, les membres actifs du comité constituent l'Association pour l'Appel de Genève (APAG) avec pour but statutaire: «de diffuser l'Appel de Genève, de favoriser l'information de l'opinion publique sur le choix de société représenté par l'électronucléaire d'une part et les technologies douces, fondées sur les énergies renouvelables, d'autre part [...] et de promouvoir la démocratisation des choix énergétiques fondamentaux par l'ouverture d'un large débat dans l'opinion publique et la consultation des populations concernées.»

L'APAG a publié un Livre jaune sur la société du plutonium == Yellow book on the Plutonium Society (éd. de La Baconnière). Elle a suscité l'organisation d'auditions publiques contradictoires par les autorités genevoises en 1982 dont les compte-rendus ont été publiés sous le titre Enérgie et société. Les surgénérateurs, vrai ou faux problème? (Institut national genevois). Elle a coorganisé avec des associations de consommateurs un cycle de six conférences sur le thème «Quelle radioactivité dans nos assiettes?» en mars 1987. Elle a encoure publié un périodique, la Gazette de l'APAG qui a été remplacé, dès 1990, par Stratégies énergétiques, biosphère et société (SEBES).

L'APAG a également mandaté un expert en matière de sécurité nucléaire (Jochen Beneke) pour effectuer un rapport indépendant sur le niveau de sécurité du surgénérateur Superphénix de Creys-Malville (France). Avec d'autres composantes du mouvement anti-nucléaire suisse et français l'APAG a pris part au différentes actions judiciaires contre le démarrage et les divers redémarrages du surgénérateur.

Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité (CRIIRAD)

  • Collectivité
  • Depuis 1986

La CRIIRAD est née à l’initiative d’un groupe de scientifiques et de citoyen.ne.s qui souhaitent connaître la vérité sur la contamination radioactive du territoire français suite à l’accident de Tchernobyl. Face à l’impossibilité d’obtenir des informations de la part de l’état et des industriels, l’association met en place un laboratoire d’analyse de la radioactivité indépendant pour réaliser ses propres mesures. La CRIIRAD conduit depuis des études et des analyses dans le domaine de la radioactivité, notamment dans le cadre de la campagne contre le surgénérateur de Creys-Malville.

Sortir du nucléaire (coordination romande)

  • 287301
  • Collectivité
  • 1989-

Fin années 1980, différents formations issus du mouvement antinucléaire se regroupent sous le nom Sortir du nucléaire afin de soutenir la campagne pour deux initiatives populaires fédérales : « Pour un abandon progressif de l'énergie atomique » et « Halte à la construction de centrales nucléaires (moratoire) ». Le 24 janvier 1989, ce réseau est constitué en association à Lausanne (sortirdunucleaire.ch, 2011). Son but est à la fois d'arrêt du développement nucléaire suisse et de promotion d'alternative, notamment les énergies renouvelables. Dix ans plus tard, deux nouvelles initiatives sont lancées (« Sortir du nucléaire » et « Moratoire plus ») et ensuite rejetées par le corps électoral en 2003. Cependant, l'association n'arrête pas de rassembler plusieurs groupements écologistes (WWF, Greenpeace, Fondation suisse pour l’énergie, Médecins en faveur de l’environnement (MFE), Médecins pour la responsabilité sociale (PSR/IPPNW), Equiterre, ContrAtom, Association pour le développement des énergies renouvelables (ADER), Société suisse pour l’énergie solaire (SSES)), certains partis (Les Verts, Parti socialiste suisse, Parti suisse du travail) ainsi que « de nombreuses autres organisations » (sortirdunucleaire.ch, 2002), tout en renouant en continu ses liens avec les réseaux antinucléaires en Suisse (alliance « Non au nucléaire » publiant le journal L'avenir est renouvelable) et en France (réseau Sortir du nucléaire).
À présent, le siège se trouve à Genève.