Affiche pour la votation du 21 mars, OUI à l'initiative populaire « pour la participation des travailleurs » qui permetterait aux travailleurs une participation plus grande aux prises de décision de l'entreprise. « Pour une relance des intérêts des travailleurs Pour développer des luttes comme au Courrier, à la Bulova, à la Leu... »
Comité pour l'initiative et contre la paix du travail
« Grève et occupation, organisons-nous dans les entreprises » Affiche appelant à l'organisation syndicale des travailleurs. Photographies des grèves du Courrier à Genève, de Leu à Chavannes et de Bulova à Neuchâtel.
Affiche en trois langues (français, italien, espagnol) pour informer les ouvriers du bâtiment syndiqués à la FOBB, la FCBB ou l'ASAG que les 1% prélevés sur leurs salaires au nom de la convention collective seraient remboursés par leur syndicat dès 1969.
Affiche pour la votation du 21 mars, OUI à l'initiative populaire « pour la participation des travailleurs » qui permetterait aux travailleurs une participation plus grande aux prises de décision de l'entreprise. « Pour une relance des intérêts des travailleurs Pour développer des luttes comme au Courrier, à la Bulova, à la Leu... »
Comité pour l'initiative et contre la paix du travail
Première page d'un calendrier de soutien au Comité d'Action Syndicale (CAS) en 1977. Photographie d'une banderole du CAS dans une manifestation, on peut y lire "Comme à Matisa notre force c'est notre organisation à la base dans l'entreprise".
Page du mois de novembre d'un calendrier de soutien à Lutte ouvrière, le "journal mensuel du syndicalisme de classe pour la Suisse romande". Photographie de militants d'un "Comité ville-campagne" en lutte contre l'arrêté laitier du Conseil Fédéral et la dégradation des conditions de travail des producteurs de lait. Sous la photographie on lit: "On dit au paysans "vous produisez trop cher, il faut rationaliser, on va acheter à l'étranger." Depuis 25 ans 12 000 paysans on dû quitter la terre chaque année! Et ça continue! On dit aux travailleurs "produire en Suisse c'est trop cher, il faut rationaliser, on va produire à l'étranger." Depuis quatre ans plus de 400 000 postes de travail ont été liquidés! Et ça continue! Assez! La similitude des arguments doit éveiller notre attention! La solidarité est vitale! Nous voulons vivre ici et garder notre travail!"