Affiche contre le redémarrage du réacteur nucléaire Superphénix de la centrale de Creys-Malville. Photographie de la centrale avec un effet de distorsion.
«... démarrage de la ruine de Malville » Affiche contre le redémarrage de Superphénix à la centrale de Creys-Malville. Photographie des dégâts sur Superphénix.
Affiche contre le redémarrage du réacteur Superphénix de la centrale de Creys-Malville. Citation du journal Libération sur des enfants qui tombent malades dans une ville proche de Tchernobyl. Le dessin de Topor représente une femme portant dans ses bras un bébé au corps troué duquel quelque chose fuit. Un homme les regarde. Le texte suivant est inscrit en haut du dessin : « - On l'appelle Centrale nucléaire parce qu'il fuit de partout. - Tant qu'il ne pète pas... ». En bas de l'image, le dessin d'un coq portant l'inscription « Mort au coq fou ».
« Genève n'a pas de murailles contre les radiations » Affiche pour un rassemblement contre le redémarrage de Superphénix à l'occasion de la fête de l'Escalade à Genève. Dessins représentant les savoyards escaladant la muraille.
Affiche appelant à un rassemblement devant le Consulat de France pour trois motifs : commémoration de la catastrophe de Tchernobyl ; contre le redémarrage de Superphénix à Creys-Malville ; pour la sortie du nucléaire à Genève.
« Il n'y a pas besoin de plan catastrophe. La seule manière de prévenir la catastrophe, c'est d'arrêter cette expérimentation grandeur anti-nature tout de suite ». Affiche pour une manifestation nationale suite à la fuite de sodium du réacteur Superphénix à Creys-Malville. Au recto, dessin d'un squelette avec le plan du réacteur à la place de son ventre. Explicitations des enjeux de dangerosité du réacteur au verso. Producteur (Édition de la Tempresse) attribué d'après le catalogue du Cira (cote 589).