« Les fiches arrivent à Genève... en langue allemande ! Le masque de la police politique commence à tomber. Où en est-on ? » Affiche pour une assemblée publique à la salle du Faubourg à Genève, autour du scandale des fiches et de l'nitiative S.o.S.- pour une Suisse sans police fouineuse. Dessin de Fichenfritz.
Concours d'épouvantails à l'occasion d'une manifestation. Les épouvantails sont ensuite exposés à L'Usine. Une autre version est mentionnée dans Ariel Herbez, Affiches BD,1996 (n°9 de Zep).
Affiche pour un débat et une fête au bateau Genève, 5 ans après la votation sur l'initiative visant à abolir l'armée suisse. « Quel changement depuis le 26 novembre 1989, quelle suite ? » Caricature représentant un général de l'armée s'injectant avec une seringue en forme de F/A-18.
« L'Armée, c'est le problèmes des femmes ! Quand ils sont à l'armée on a tout sur les bras ! » Affiche pour une discussion à Genève sur les enjeux des femmes dans l'initiative Pour une Suisse sans armée et pour une politique globale de paix.
Commission femmes du Syndicat des Services Publics (SSP/VPOD)
Affiche pour un débat contradictoire organisé par le GSsA en présence de deux de leurs membres, d'un ancien colonel divisionnaire et de Martine Brunschwig, présidente du parti libéral genevois.
Groupe pour une Suisse sans armée (GSSA), Secrétariat romand
Affiche pour l'initiative Pour une Suisse sans nouveaux avions de combat. Image représentant un jardinier défrichant un champ où des armes remplacent les mauvaises herbes. Il porte un tablier avec l'inscription « Post Tenebras Pax ».
Groupe pour une Suisse sans armée (GSSA), Secrétariat romand
« Contre les gros fraudeurs » Affiche appelant à votre contre l'initiative populaire «Halte aux déficits» qui pour empêcherait les hausses d'impôts. Dessin représentant un personnage en costume et cravate, fumant un cigare et mettant une petite pièce dans une tirelire en forme de cochon sur laquelle est inscrit 'Fisc'.
Affiche pour une manifestation contre le « projet Barras » à Berne et pour la « libération immédiate de tous les objecteurs de conscience ». Cette révision du Code pénal militaire est une décriminalisation partielle de l'objection de conscience qui « [permettrait] aux objecteurs d'effectuer, en lieu et place d'une peine privative de liberté, une astreinte à un travail d'intérêt général (d'une durée une fois et demie plus longue que le service militaire refusé) », des travaux d'intérêt public assumés jusque là par l'armée. (source : Année politique suisse). Caricature d'un officier de l'armée retenant un petit prisonnier en appuyant son pied sur son boulet.
Groupe pour une Suisse sans armée (GSSA), Secrétariat romand