Émission Cause toujours tu m'intéresses sur les Guerrilla Girls avec la diffusion d'un interview. L'interview a été réalisé à Bâle avec trois membres du groupe, lors du Symposium international de femmes des sciences et du monde artistique. Ce groupe a notamment dénoncé la mauvaise représentation et le manque de rémunération des femmes dans le monde de l'art, à travers des actions de rue visant des institutions muséales et des galeries et du collage d'affiches.
L'entretien complet est disponible sur la pièce 0325 en lien ci-dessous (champ Descriptions associées). Fin de l'émission : diffusion de musique de femmes.
Une partie de l'émission Musique de lesbiennes du 16 février 1983, qui dure plus de 4h. Cette cassette est celle de la rediffusion de cette émission, dont la date est inconnue. La suite de l'émission diffuse de la musique de Lindsay Cooper.
Différents chants féministes en français sur des airs classiques de chants féministes italiens, il s'agit peut-être d'adaptations du groupe féministe marseillais La Serpillière. Comprend l'hymne du MLF.
Suite du dossier sur les métiers traditionnellement masculins.
00:31:02 - Catherine réagit au témoignage d'Uli. Diffusion du témoignage d'Anne-Caroline Prenat, cheffe d'orchestre. Travail et rôle de mère. - 00:11:03
00:12:52 - Diffusion du témoignage de Christine, apprentie patissière-confiseur. Problème avec son patron. - 00:17:05
00:21:13 - Parole aux patrons. D'abord discussion avec le patron de Christine. Puis discussion avec Monsieur Schield, responsable des apprenti·es pour l'entreprise Ambrosetti. Naturalisation des capacités féminines. Et finalement téléphone avec Monsieur Burgy de l'Union professionnelle suisse de l'automobile, qui a lancé une campagne pour donner l'accès aux femmes à la formation.
00:04:14 - Téléphone avec Nancy Ypsilantis sur Maria Bethânia. Ypsilantis est productrice de son dernier disque. - 00:11:00
00:19:20 - Suite de la discussion avec Catherine sur des traditions musicales brésiliennes. Puis discussion sur le carnaval à Recife, bien différent que celui de Rio.
