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Affiche pour une soirée et appelant à se rendre au Palais de justice à Genève pour soutenir les « 14 personnes condamnées pour l'occupation de la citibank ». Celles-ci avaient été arrêtées dans le cadre d'une occupation visant à dénoncer les massacres des Afrocolombiens et les implications de la banque américaine dans ceux-ci. Un dispositif policier important fut déployé au Tribunal de police le jour du procès.

Affiche pour une « soirée contre le plan colombien ». Débat en présence d'un Afrocolombien, soirée.
Deux pictogrammes de la Colombie, montrant « les massacres paramilitaires » et les « investissements [de la citibank] dans les mégaprojets du capital ».

Affiche pour un rassemblement devant la mission bolivienne à Genève, pour protester contre « le chaos provoqué par le néocolonialisme de marché [qui] s'étend à la Bolivie ».

Affiche pour trois jours de conférences et événements sur « Les droits des peuples autochtones » au Parc des Cropettes à Genève.

Affiche pour un « cortège funèbre pour les victimes passées, présentes et futures des ÉTAT$-UNI$ (sic) » au stade du Bout-du-monde à Genève. Dessin représentant un squelette drapé dans un drapeau américain, portant un obus dans une main et un cornet avec le sigle MacDonald's dans l'autre.
Inscription manuscrite au verso : « Manif contre la fête du 4 juillet des amerloques ».

« La lutte continue »
Affiche représentant les portraits de Ernesto Che Guevara et d'Emiliano Zapata, ainsi que d'une troisième personne cagoulée.

« Les paroles sans action sont vides, l'action sans paroles est aveugle, les paroles et l'action qui trahissent la communauté sont la mort ».

Affiche de solidarité avec la Colombie.

Affiche pour une fête et une « action théâtre de rue » en soutien « aux mobilisés du Sommet des Amériques ». Dessin représentant un pictogramme de l'Amérique latine, un soldat entourés des logos de différentes multinationales (Coca-Cola, Nestlé, Novartis...), et de paysan·e·s en lutte à côté de plans de maïs.

Affiche probablement pour une exposition du graphiste suisse Marc Rudin, également appelé Jihad Mansour, proche du Front populaire de libération de la Palestine. L'affiche représente une fenêtre de prison, dont le grillage est déchiré par un caillou, et une personne portant un keffieh sur sa tête et son visage.

Affiche dénonçant les enjeux de dangerosité du redémarrage du réacteur nucléaire Superphénix de la centrale de Creys-Malville.