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Affiche pour une soirée de soutien « aux inculpés du 11 novembre », dix personnes accusées d'avoir saboté des lignes de TGV en 2008.

« Pénurie absolue, criminalisation des squats, faillite du marché, impotence des autorités, congés abusifs, hausse des loyers, spéculateurs, État complice, expulsions brutales, habitants et activités chassés du centre...»
Affiche pour la cinquième assemblée des mal-logés sur la plaine de Plainpalais.

« Quelle est la notre ? »
Affiche pour une tournée de « témoignages et débat avec les activistes du Pont d'Aubonne », qui s'étaient suspendus sur le pont d'Aubonne pendant le contre-sommet du G8 à Évian. La police coupe la corde et manque de les tuer.

Affiche pour un campement international à Strasbourg.
Dessin de manifestants tenant une banderole indiquant « Liberté de circulation ».

« Ni frontières ni nation ni contrôle social »
Affiche contre le « Système d'information Schengen », appelant à un campement à Strasbourg. Empreintes de main et barbelés.

« En finir avec l'État policier »
Affiche pour l'initiative populaire « S.o.S.- pour une Suisse sans police fouineuse » visant à abolir la police politique et à empêcher la surveillance dans le cadre d'activités politiques (source). Dessin de Fichenfritz, alter ego de Ficherman en Suisse-allemande.

« Levée des inculpations, arrêt des poursuites »
Affiche appelant à une manifestation pour dénoncer la répression suite au défilé militaire du 21 novembre 1995.

Affiche appelant à une manifestation suite à la répression lors du défilé militaire du 21 novembre 1995, à l'encontre des manifestants protestant contre le défilé.
« La provocation, c'était le défilé ».

Affiche représentant un policier français pointant son arme, sur fond des couleurs françaises. Dans le coin gauche, le cercle d'étoiles européens, dont une est remplacée par une croix gammée.

« Deux mois de prison, deux mois de trop ! »
Affiche pour une manifestation en soutien aux « quatre séquestrés de la police fédérale » à Genève. L'affiche représente Helvetia, la tête dans ses bras, appuyée sur un écusson suisse sur lequel se trouve inscrit « loi fédérale de 1934 » (référence à la loi fédérale sur la procédure pénale). Trois anges l'entourent, essayant de la consoler.