Affichage de 259 résultats

Notice d'autorité
Collectivité

Syndicat des services publics (SSP/VPOD) Genève

  • 450199
  • Collectivité
  • 1920-

« 1905 est l'année de fondation du SSP [... quand la] Fédération suisse des ouvriers des communes et des Etats [est créée] au Grütliheim, à Zurich. Herman Greulich, le père des syndicats en Suisse, en est le premier président.
En 1905 également, le 17 juin, est fondée la fédération suisse des employés des tramways, à Zurich.
En 1906, adhésion de la première section romande de notre fédération: celle de La Chaux-de-Fonds.
En 1908, ouverture d'un secrétariat central et parution du premier journal fédératif, dont le titre était «Plus haut – Aufwärts – In alto». Adhésion à l'Internationale professionnelle du personnel des services publics.
En 1917, notre fédération prend pied pour la première fois au Tessin (création de la section d'Airolo)
En 1919, une partie en français est intégrée au journal fédératif.
1920 est l'année de la fusion entre la Fédération suisse des ouvriers des communes et des Etats et la Fédération suisse des employé-e-s des tramways.
En 1921, approbation du principe de la création d'un secrétariat romand.
En 1924, la Fédération suisse des ouvriers des communes et des Etats prend le nom de Fédération suisse du personnel des services publics (V.P.O.D.). En Suisse romande, le syndicat s’appellera « la VPOD » jusqu’en 1982, année à partir de laquelle il s'appelle « SSP - Syndicat des services publics». » (v. sources)

Comité populaire de l'Ouest Lausannois

  • 458996
  • Collectivité
  • 1973 - ca. 1978

Le Comité populaire de l'Ouest Lausannois édite notamment le journal Tribune populaire. Il publie en mars 1976 une plateforme.

Dans ce texte, les origines du groupe sont exposées: «La création de TP remonte au printemps 73. Au départ formé d'un groupe de jeunes écoliers, apprentis, étudiants qui menaient la réflexion sur leur propre situation de jeunes dans l'Ouest lausannois; le groupe a bien vite réalisé qu'il ne fallait pas s'isoler entre jeunes, mais établir le contact et mieux connaître la situation des travailleurs, des locataires, ménagères, immigrés et retraités dans la région. Tribune populaire s'est par la suite élargi [...]» (p. 16).

Le groupe précise aussi ses objectifs: «C'est la démocratie par le bas que nous voulons réaliser par notre propre prise en charge de nos conditions de vie, par l'organisation et l'action collective qui nous permettent de faire valoir notre point de vue. La démocratie est pour une chose trop importante pour qu'on la laisse entre les mains de quelques partis politiques [...]» (p. 17).

Le groupe détaille également les moyens qu'il met en oeuvre: les enquêtes, les assemblées, le journal. «Une des choses les plus importantes qui nous caractérise, c'est notre pratique d'enquête.» Les assemblées sont divisées en deux types: celles ordinaires, qui ont lieu chaque lundi et au cours desquelles les groupes présentent leur travail, le journal est préparé et discuté; celles extraordinaires qui porte sur un thème spécifique, présenté par une commission ou un groupe d'enquête (p. 18). Le journal est vendu en porte à porte «pour contacter d'autres personnes que l'on voit moins souvent ou même pour la première fois» (p. 22).

Le Comité populaire de l'Ouest lausannois a été très actif dans les tentatives de jonction entre les luttes paysannes et les quartiers populaires. Il a ainsi organisé plusieurs marchés libres (ventes directes de produits dans les quartiers) et les colonnes du journal Tribune populaire ont été largement ouvertes aux problématiques agricoles.

Mouvement pour le socialisme (MPS)

  • 500129
  • Collectivité
  • 2002-*

Parti né de la rupture de certains membre de SolidaritéS, notamment Agostino Soldini (en ce moment secrétaire central du Syndicat suisse des services publics, SSP) et Charles-André Udry.

Communauté de travail "Être solidaires" en faveur d'une nouvelle politique à l'égard des étrangers

  • 501126
  • Collectivité
  • 1974-1990?

En 1974 le Mouvement des ouvriers et employés catholiques - Suisse (Katholische Arbeitnehmer-Bewegung der Schweiz, KAB) rassemble une « trentaine d'organisations et de partis » (Commentaire officiel de l'initiative "Être solidaires", décembre 1974), à l’issue surtout du milieu syndical et associatif-religieux, autour de la question de la xénophobie. Ce rassemblement débuche sur un rencontre le 15 mai 1974 à Olten, où le lancement de l'initiative populaire fédérale « être solidaires en faveur d'une nouvelle politique à l'égard des étrangers » est décidé.
Le 20 octobre 1977, en déposant 55'954 signatures à la Chancellerie fédérale, ce réseaux prend la forme d'une association qui s'appelle « Communauté de travail "Être solidaires" en faveur d'une nouvelle politique à l'égard des étrangers », qui sera ensuite mise en votation le 4-5 avril 1981. Son but est de « élaborer pour la Suisse une politique à l'égard des étrangers fondée sur les principes de l'égalité de traitement et des droits de l'homme » (Statuts, art. 2). À la suite de l'échec de la votation une décision est prise : continuer le travail de sensibilisation, production de discours et réflexion publique autour des problèmes de la population immigrée. Par conséquent, l'assemblée générale du 6 novembre 1982 vote la modification du statuts et du nom officiel de l'association, maintenant « Communauté de travail "Être solidaires" Suisses-Immigrés » qui continue à promouvoir rencontres, initiatives, ainsi que la publication du bulletin, devenu en fin 1983 le journal Piazza.
En septembre 1990 la Communauté est formellement encore en vie (cf. convocation du Comité du CCSI pour le 13 septembre 1990, 7.09.1990).

Comité genevois pour une nouvelle politique à l'égard des étrangers

  • 501127
  • Collectivité
  • 1974-1985[1990?]

Afin de suivre les travaux de reforme de la Loi sur le séjour et l'établissement des étrangers (LSEE ou AMAG en allemand) de 1977-79, un groupe d'étude se met sur pied au sein du CCSI et appelle, en septembre 1978, à la création d'un « Comité d'action contre la nouvelle Loi sur les Étrangers » (convocation séance constitutive du 5 octobre 1978, 22.09.1978, cf. CCSI-S005-SS01-D02-SD01 Assemblée générale) qui prendra le nom de « Comité genevois pour une politique non-discriminatoire envers les étrangers (contre le projet de loi [ou : contre la nouvelle loi ; contre AMAG]) ». A ce comité prend partie, au moins dès la rentrée 1979, le Comité genevois "Être solidaires". Néanmoins, le premier comité devient de plus en plus active aussi par rapport à la campagne en faveur de l'initiative "Être solidaire". En janvier 1981 il est le moteur du nouveau comité genevois en faveur d'Être solidaire, qui vient d'être créé pour mieux se concentrer sur l'aboutissement de l'initiative quelque mois avant la votation fixé au 4-5 avril 1981, jusqu'au point de suspendre « provisoirement ses propres activités » (cf. procès-verbal de la séance constitutive, 9.02.1981 in CCSI-S005-SS01-D02-SD01, Assemblées générales). La convocation de cette séance prévoyait déjà, pour ce comité, une « existence de courte durée, soit du 29 janvier au 15 avril 1981 ».
Suite à l'échec de la votation populaire, le comité continue ses activités en tant que secrétariat genevois de l'organisation qui avait menée la campagne au niveau nationale, c'est-à-dire la Communauté de travail en faveur d'une nouvelle politique à l'égard des étrangers, qui en septembre 1990 est encore formellement en vie, au moins en tant que structure nationale (cf. convocation du Comité du CCSI pour le 13 septembre 1990, 7.09.1990).

OFRA Genève (Organisation pour la cause des femmes)

  • 501299
  • Collectivité
  • 1982-1997

Selon Kiani (2019), « l'OFRA genevoise commence ses activités en 1982 ». Participe notamment à la campagne contre l’initiative « Pour le droit à la vie ». Le groupe genevois est créé dans le but « d'apparaitre publiquement », « d'intervenir sur des questions de politique traditionnelle et parlementaire », et d'agréger différentes tendances féministes sur des questions communes.

Symposium de la solidarité (1978)

  • 502210
  • Collectivité
  • 1978

Se tient à Lausanne en fin 1978 en réponse au Premier Symposium Latino-Américain - Européen pour la coopération économique (Montreux, octobre 1977). Il semblerait avoir aucune proximité avec le comité au même nom de 1980, d'après l'introduction de la brochure diffusée en 1981 (cf. Broch 0004).

Résultats 41 à 50 sur 259