Zone d'identification
Type d'entité
Personne
Forme autorisée du nom
Barone, Charly
forme(s) parallèle(s) du nom
Forme(s) du nom normalisée(s) selon d'autres conventions
Autre(s) forme(s) du nom
Numéro d'immatriculation des collectivités
Zone de description
Dates d’existence
1931-2011
Historique
Typographe, membre de la Fédération suisse des typographes (FST), il anime, avec Christian Tirefort, Bernard Hess et d'autres le Comité de base de l'imprimerie qui tente de dépasser la structure corporatiste du syndicat et d'organiser les travailleurs par entreprise en vue, notamment d'apporter une réponse plus efficace au mouvement de modernisation technique de la branche.
Il signe avec les deux précédente et Hans Bräm une «Contre-analyse sur les nouveautés techniques: leur rôle dans la situation actuelle du capitalisme» qui paraît dans les colonnes du Gutenberg: organe de la Fédération suisse des typographes, le 18 décembre 1969.
Charly Barone est membre du Parti du Travail (PdT, Genève) de 1953 à 1970. Le 9 mars 1970, il est suspendu de son activité militante au PdT (Série 1, chemise 1/2), à la suite, sans doute, de la publication du Manifeste de l'opposition de gauche - PdT Genève (février 1970), dont il n'est cependant pas signataire.
Il est l'un des signataires d'une lettre «Aux camarades délégués de la Section Genève du Parti suisse du travail» (13 juin 1970, Série 1, chemise 1/2). L'Opposition de gauche du PdT se scinde en plusieurs tendance (Tendance A, Tendance Z, et Tendance Rouge). Au printemps 1970, il participe, avec les membres de la Tendance Z, à la fondation du Centre de liaison politique (CLP) dont il devient un militant actif.
Il démissionne du CLP en 1976 et participe alors à la fondation du Collectif politique (CP).
Dans les années 1990, il est très actif dans le secteur de la solidarité internationale. Son action se tourne en particulier vers l'Amérique latine. Il est observateur international dans le cadre d'élections au Salvador ainsi que pendant les négociations de juillet 2000 entre les Forces armées révolutionnaires colombiennes (FARC) et le gouvernement colombien. Il est membre de plusieurs groupes tels que Solidarité El Salvador - Nicaragua ou encore le Collectif Simon Bolivar. Sur le plan syndical, il reste actif à la Communauté genevoise d'action syndicale et dans le Comité du Premier Mai (Genève).
Lieux
Statut légal
Fonctions et activités
Textes de référence
Organisation interne/Généalogie
Contexte général
Zone des relations
Entité associée
Identifiant de l'entité associée
Type de la relation
Dates de la relation
Description de la relation
Entité associée
Identifiant de l'entité associée
Type de la relation
Dates de la relation
Description de la relation
Entité associée
Identifiant de l'entité associée
Type de la relation
Dates de la relation
Description de la relation
Zone des points d'accès
Mots-clés - Sujets
Mots-clés - Lieux
Occupations
Zone du contrôle
Identifiant de notice d'autorité
Entretenu par
Identifiant du service d'archives
Règles et/ou conventions utilisées
Statut
Final
Niveau de détail
Moyen
Dates de production, de révision et de suppression
Langue(s)
Écriture(s)
Sources
- «Hommage à Charly Barone», in Cahiers d'histoire du Mouvement ouvrier, n°27, 2011, p. 128.
- Charly Barone, «Dialogue interrompu entre les FARC et le Gouvernement» in SolidaritéS, décembre 2000.
- Interview de Charly Barone par Shabnam Soltanieh dans le cadre du séminaire d’histoire internationale contemporaine 2010-2011 (ARHTO) de la Faculté des sciences sociales et politiques (SSP) de l'Université de Lausanne.