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- [1988] (Creation)
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Le SLP nait en 1980 par la fusion de la Fédération suisse des typographes, plus ancienne organisation syndicale suisse (FST), et de la Fédération suisse des ouvrier relieurs et cartonniers (FSORC).
Les typographes sont les pionniers des conventions de travail et n’hésitent pas à se mettre en grève pour montrer leur mécontentement. En 1926 le SLP créer une section féminine, après avoir longtemps refuser d’accueillir les femmes et les ouvrier non qualifiés au sein du syndicat. Dans un premier temps les différentes associations syndicales telles que le SLP ou L'Union suisse des lithographes, refusent de fusionner malgré leur adhésion commune à l’Union syndicale suisse. Cependant, le développement technologique conduit à la déqualification progressive de certains métiers de l’imprimerie forçant ainsi les différents syndicats à fusionner.
Le syndicat fusionne en 1998 avec l'union suisse des lithographes et d'autres organisations pour former le syndicat des médias Comedia. En 2011, celui-ci fusionne avec le Syndicat de la communication pour former le nouveau syndicat de la communication et des médias Syndicom.
D'après :
Dictionnaire historique de la Suisse : https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/016494/2012-11-12/#:~:text=La%20FST%20est%20la%20plus,Tessin%20(1898%2D1910).
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Anciennement Fédération des syndicats chrétiens de Genève (FSCG).
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ContrAtom est une association, reconnue d’utilité publique, fondée à la fin de 1985 pour s’opposer à la foire du nucléaire (ENC’86) qui se tenait à Palexpo (Genève) en juin 1986. 3000 personnes manifestèrent contre cette foire et celle de 1990 (ENC’90) fut précipitamment déplacée à Lyon…
Le premier numéro du notre journal date de mars 1988. Il n’a cessé de paraître depuis avec une périodicité de quatre numéros par an.
L'association s'est engagée dans la campagne en faveur de l’initiative cantonale « l’énergie notre affaire » (Art. 160C, devenu 160E) en décembre 1986. Elle a cherchà à obtenir la fermeture du surgénérateur de Crey-Malville (France), notamment au sein du groupe «Européens contre Superphenix» qu'elle a fondé.
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Constitution d'Etat d'urgences: mars 1985. Une conférence de presse est organisée à l'occasion de la fermeture de la Maison du Grütli aux activités culturelles. 27 avril 1985: «attentat rock» au centre commercial de Balexert organisé par Etat d'urgences. Le collectif mène de multiples actions revendicatives (manifestations, concerts, discos, expositions, etc.) dénonçant la fermeture systématique de lieux culturels. Les autorités municipales, avec lesquelles le collectif négocient, réclament une personnalité juridique pour Etat d'urgences. Une association est constituée en octobre 1985.
Novembre 1985: fermeture du Bouffon, une disco, sur ordre des autorités municipales. Réouverture illégale du lieu avec le soutien d'Etat d'urgences. Fin novembre l'association obtient en prêt à usage de la part de la Ville de Genève, la Villa Fiasko (10, rue Beaulacre). Le 10 décembre, une convention est signée et des rénovations sont effectuées par des membres du collectif. Dès l'inauguration publique de la villa (14, 15, 16 mars 1986), le voisinage se plaint des nuisances provoquées par les activités organisées. Le 19 juin 1986, après deux pétitions et de multiples plaintes, les autorités municipales ordonnent la cessation de toute activité publique dans la villa, des solutions de repli sont proposées et refusées par Etat d'urgences. Une nouvelle vague d'action de protestation démarre.
Etat d'urgences mène alors de front des négociations avec les autorités municipales et de nouvelles actions revendicatives (notamment les Fiaskomobiles). En septembre 1986, les autorités promettent de mettre à disposition l'Usine genevoise de dégrossissage d'or (UGDO), un bâtiment industriel désaffecté dans le quartier de la Jonction à Etat d'urgences, Post Tenebras Rock et le Groupe de liaison des associations de jeunesse (GLAJ). Etat d'urgences et PTR (le GLAJ a décliné la proposition) inaugurent les lieux en juin 1989, après de gros travaux.
En 1989, une charte est rédigée en vue de fixer quelques éléments d'organisation du lieu (S01). On y distingue ainsi les «Ateliers» qui sont des groupes qui gèrent un espace dans l'Usine, les «groupes» qui «utilisent régulièrement les espaces de l'Usine» un groupe de gestion qui «assure le fonctionnement du l'Usine», se réunit une fois par semaine et comprend des représentants des ateliers et des groupes.
On trouve à l'Usine: une salle de concert, un cabaret-dancing, un magasin, un bistrot (Débido), un cinéma (Spoutnik), un théâtre, une galerie. Ces lieux sont dits publics et ils sont gérés par des groupes désignés par l'association. Il y a également des ateliers fermés au public. Dès le début, Etat d'urgences fonctionne sans subvention. En 1992, constatant l'essoufflement des bénévoles, trois structures (cinéma, théâtre et espace d'art) demandent des subventions de fonctionnement.
En janvier 1998, L'Usine ferme pour huit mois, afin de procéder à des travaux importants de cloisonnement des différents espaces et, plus largement, pour rendre le lieu plus fonctionnel pour les activités culturelles qui y sont déployées. L'association Etat d'urgences est dissoute en 1998 et c'est l'association Usine qui prend sa suite.
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