Il s'agit d'une affiche sérigraphiée (noir sur papier rose) appelant à manifester pour soutenir la lutte des détenues du pénitencier pour femmes de Hindelbank (orthographié avec une erreur sur l'affiche: "Hildenbank") à Berne. Image de six bustes ou têtes de femmes, bouches ouvertes, derrière des barreaux. Texte d'appel à la manifestation. On trouve la même image de femmes, avec un cadrage plus serré et sans barreaux sur l'affiche suivante: MLF-GE/S3/SS42/D28/P2. Deux exemplaires.
Il s'agit d'une affiche (rouge, bleu et niveaux de gris sur papier gris) annonçant une manifestation en lien avec la prison le 31 janvier 1981 à Zürich (Suisse). Deux photographies. Pénitencier avec banderoles aux fenêtres. Rassemblement devant l'entrée d'un pénitencier cantonal (peut-être celui de Regensdorf à Zürich). Des étoiles rouges dessinées ont été ajoutées aux photographies ainsi que de la couleur. Certains visages ont été brouillés. Deux exemplaires.
Il s'agit d'une affiche (noir sur papier blanc) sur l'enfermement en général et plus particulièrement sur l'incarcération de Alex et Martial. L'affiche est signée par Noël, Joel et Citroën. Texte sans image.
« Deux mois de prison, deux mois de trop ! » Affiche pour une manifestation en soutien aux « quatre séquestrés de la police fédérale » à Genève. L'affiche représente Helvetia, la tête dans ses bras, appuyée sur un écusson suisse sur lequel se trouve inscrit « loi fédérale de 1934 » (référence à la loi fédérale sur la procédure pénale). Trois anges l'entourent, essayant de la consoler.
Affiche pour Patrick Moll, « assassiné par les flics le 30 juillet 1974 à Yverdon ». Sérigraphie d'un policier en contre-plongé portant une arme, et une carte de la Suisse-romande avec un point rouge sur la ville d'Yverdon.
Affiche pour Patrick Moll, « assassiné par les flics le 30 juillet 1974 à Yverdon ». Sérigraphie d'un policier en contre-plongé portant une arme, et une carte de la Suisse-romande avec un point rouge sur la ville d'Yverdon.
Affiche contre le « projet Barras », une révision du Code pénal militaire. Cette réforme est une décriminalisation partielle de l'objection de conscience qui « [permettrait] aux objecteurs d'effectuer, en lieu et place d'une peine privative de liberté, une astreinte à un travail d'intérêt général (d'une durée une fois et demie plus longue que le service militaire refusé) », des travaux d'intérêt public assumés jusque là par l'armée. (source : Année politique suisse). L'affiche représente un prisonnier vêtu d'un habit à rayures jaunes et noires, se tournant les pouces sur un banc en prison.