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Le dossier comprend une lettre ouverte "des femmes de la pleine lune" à Radio Zones à propos du bulletin d'information. Les animatrices de l'émission souhaitent rédiger et lire les bulletins d'infos du mercredi et du jeudi afin de traiter l'information avec une "sensibilité féministe". Elles défendent leur non-participation au comité de rédaction du bulletin et refusent d'en "être la section femmes". Elles présentent leur vision de l'autonomie ainsi que du rapport à la mixité en répondant à l'accusation à Radio Pleine Lune "d'être un ghetto".
Contient également plusieurs sommaires de l'émission, le programme des émissions de mi-mai à fin juin 1982, deux notes manuscrites sur le rangement des cassettes, et un communiqué de presse du 10 décembre 1999 annonçant la fin de l'émission de radio.

Affiche pour une fête populaire sous le cèdre autour duquel se mobilise le Groupe d'habitants des Eaux-Vives pour éviter son abattage.

Affiche pour une assemblée générale pour s'organiser autour d'une maison, dans la continuité de la lutte pour préserver un cèdre sur le même terrain.
« Pour nous opposer à l'envahissement par des bureaux, des banques, des parkings, des immeubles de luxe : pour contrôler le développement du quartier ».

00:00:01 // Suite de l'émission. Rapport aux autorités, récit d'une femme violentée par l'institution. // 00:01:35

00:05:21 // Non-exceptionnalité de la situation de Marine Desmond. Évocation de l'affaire Alain Urban. Horreur des pavillons fermés. Difficulté d'obtenir des témoignages de l'intérieur et des autres patientes. Organisation entre patientes pour faire sortir des courriers. Évocation d'un suicide d'une femme. // 00:15:26

00:21:10 // Suite après l'internement, séquelles psychiques et physiques comme conséquence des traitements. Création de l'ADUPSY, présentation de ses missions. Promotion d'une psychiatrie non-violente. Évocation des décès. Organisation de l'ADUPSY, permanences, témoignages. Intervention toutefois limitée. Réception du livre. Conclusion de l'émission, quelles réformes à Bel Air. Revendications de l'ADUPSY qui sont systématiquement rejetées par les autorités. // 00:31:22

Émission sur les tranquillisants médicamenteux.

00:02:49 // Présentation de l'émission, industrie des médicaments. // 00:05:05

00:06:41 // Histoire des médicaments tranquillisants. Sédatifs et somnifères. // 00:13:10

00:14:19 // Benzodiazépines, industrie pharmaceutique. Les noms donnés à ces médicaments. // 00:21:33

00:24:26 // Effets des benzodiazépines. // 00:29:44

00:32:42 // Prescription des benzodiazépines, surdosage et cocktails. Démultiplication des médicaments. Dépendance aux médicaments. // 00:39:30

00:41:32 // Effets secondaires des benzodiazépines. Augmentation des doses avec le temps. // 00:46:50

Émission de musique, « promenade du côté du rock de femmes féministes, engagées et lesbiennes » commentée par Radio Pleine Lune.

00:38:24 // Annonce d'événements. Deuxième procès dans le cadre d'un recours dans l'affaire des viols de Pré-Naville. Point sur l'affaire. // 00:42:44

Suite de l'émission de musique, « promenade du côté du rock de femmes féministes, engagées et lesbiennes » commentée par Radio Pleine Lune.

00:00:01 // Annonces d'événements. Téléphone avec Éponine Azelma pour sa chronique cinématographique. // 00:19:28

00:33:31 // Revue de presse. // 00:47:00

Suite d'une émission avec trois femmes invitées par ISIS : une femme indienne, une femme sud-africaine et une femme yougoslave. « Cross cultural exchange », invitation de femmes actives dans des groupes femmes et possibilité de voyager et de travailler dans des groupes femmes d'autres pays. Interview en anglais.

La chronique cinéphilique d'Eponine Azelma : Clémentine Tango de Caroline Roboh et un film de Pierre Clémenti.

« ... du Nord au Sud le rouleau compresseur du capitalisme réduit tout au fric »
Affiche abordant la fin de l'URSS et la victoire du capitalisme.
Dessins de Plantu et Alain Crépin, ainsi qu'un dessin non-signé représentant Staline assis à une table à manger, couverts en main, la tête de Lénine posée sur une assiette devant lui.