« Tout recul, toute neutralisation de la répression menée par le pouvoir bourgeois est une avance du combat révolutionnaire » Affiche-tract abordant la question de la répression « bourgeoise » qui vise les militants marxistes-léninistes, la classe ouvrière et les travailleurs étrangers en Suisse. Appel à une manifestation à Genève en soutien aux inculpés de l'école de recrue ER.PA.246.
« Pas d'éditorial. Pas de rédacteur en chef. Pas de mots croisés. Pas d'avis mortuaires ni de "Qualité de la vie", d'horoscope, réunion du Parti, sport-toto. Pas de fric. Pas de soutien-gorge. Ben alors, qu'est-ce qu'il reste ? Presque rien. Juste un peu de propagande insidieuse de l'ennemi communioniste intérieur, le souffle subversif de la jeunesse, le besoin d'une plateforme de communication socio-culturelle, l'état d'urgence & les conditions de survie planétaire dégueulasses d'une génération minorisée par le pouvoir. Et la rigolade parce que c'est pas drôle ». Numéro zéro du journal Intox.
Convocation aux membres du VPOD pour une assemblée générale extraordinaire au sujet de l'initiative populaire « contre l'emprise étrangère et le surpeuplement de la Suisse ». « Information et prise de position, présence indispensable. »
Affiche pour des séances d'information sur l'école de recrues et les luttes des soldats à Genève. Dessin représentant des poings levés dont un serrant un officier de l'armée.
« Pas d'éditorial. Pas de rédacteur en chef. Pas de mots croisés. Pas d'avis mortuaires ni de "Qualité de la vie", d'horoscope, réunion du Parti, sport-toto. Pas de fric. Pas de soutien-gorge. Ben alors, qu'est-ce qu'il reste ? Presque rien. Juste un peu de propagande insidieuse de l'ennemi communioniste intérieur, le souffle subversif de la jeunesse, le besoin d'une plateforme de communication socio-culturelle, l'état d'urgence & les conditions de survie planétaire dégueulasses d'une génération minorisée par le pouvoir. Et la rigolade parce que c'est pas drôle ». Numéro zéro du journal Intox.
Affiche pour un « mois espagnol » à la maison de quartier de la Jonction, du 8 au 26 mai 1974. Films, musique, repas, expo, poésie, théâtre, débats. Illustration représentant un ouvrier visiblement abattu par un Guardia civil. Image d'une usine et d'ouvriers en lutte dans le fond. Affiche probablement réalisée par le Collectif du Chant continu.
« Témoignage de 6 anciens prisonniers politiques appartenant à la 3ème composante et au gouvernement révolutionnaire provisoire de la République du sud-Vietnam ». Affiche pour une conférence publique et la projection du film Nos enfants qui reviennent à la salle du Faubourg à Genève. Liste d'organismes co-organisateurs conséquente sur l'affiche.
Conférence de Stockholm, comité préparatoire suisse de la conférence internationale pour la libération des prisonniers politiques du Sud-Vietnam
Affiche revenant sur le meurtre de Patrick Moll, tué par la police en juillet 1974 lors « d'une fugue » du pénitencier de Bochez. Informations sur l'affaire, déclaration des parents de Patrick et extraits de courriers reçus par ces derniers, Affiche conçue par un groupe d'habitant·e·s d'Yverdon qui a « mené une enquête sur les lieux du meurtre, a rendu visite aux parents de Patrick et a essayé de comprendre comment la logique policière a pu en arriver là ».
Il s'agit d'une explosion survenue dans le nuit du jeudi 8 février 1973 dans le cadre du chantier de creusement de la galerie technique et d'évacuation des eaux pluviales dite Saint-Jean Foretaille allant du quartier de Saint-Jean à la station électrique de Foretaille en bout de piste de l'aéroport côté lac. Le chantier dure de 1971 à 1976.
Le chantier était dirigé par l'entreprise Murer, mais l'explosion a eu lieu dans un secteur où travaillait un sous-traitant, l'entreprise Michellod. Armando Baleri, travailleur saisonnier italien, est mort pendant l'explosion et six personnes ont été blessées.
Le procès de l'accident a lieu les 15 et 16 octobre 1974 devant la Cour correctionnelle avec jury du canton de Genève.
Le samedi 28 avril 1973, c'est un saisonnier yougoslave qui perd la vie sur le même chantier écrasé entre deux machines.