« Il n'y a pas d'armée neutre. C'est soit la contre-révolution armée, soit les armes de la révolution » Affiche-tract appelant à une manifestation le 9 novembre 1972, 40 ans après la fusillade de 1932 à Genève. Le tract critique notamment l'armée suisse, « qui n'a pas cesse d'intervenir contre la classe ouvrière et contre les militants révolutionnaires ».
Affiche pour une manifestation le 27 avril 1991 à Genève, cinq ans après Tchernobyl. « Malville redémarre On agrandit Mühleberg et notre consommation d'éléctricité continue d'augmenter » Dessin représentant un gateau en forme de réacteur nucléaire avec une tête de mort dessus.
Affiche pour une manifestation antinucléaire à Lyon, 10 ans après la catastrophe de Tchernobyl, et pour l'arrêt de Superphénix. Départ groupé de Genève. Photographies des centrales et d'une manifestation contre Superphénix.
Affiche pour une manifestation probablement pour l'arrêt de Superphénix à la centrale nucléaire de Creys-Malville. Dessin de squelettes dansants. Est précisé en bas de l'affiche, sous la liste des soutiens : « d'autres soutiens n'ont pas pu être confirmés à temps vu les délais d'organisation fort brefs ».
Affiche appelant à une manifestation à Genève commémorant la catastrophe de Tchernobyl et contre le redémarrage de Superphénix à la centrale de Creys-Malville.
« Faites l'humour, pas la guerre » « Jeunes voix, re-sensez-vous » Affiche reproduisant un texte poétique et humoristique appelant à une manifestation à Genève. Reproduction du dessin Paysage suisse V dans Du monde moderne de Martial Leiter (Éditions d'en Bas, 1989).
Affiche pour une manifestation antinucléaire à Genève, à propos de la centrale de Creys-Malville et des essais nucléaires menés par l'État français à Moruroa en Polynésie française. Dessin représentant deux personnages qui dansent, portant des masques avec le symbole de la radioactivité.
Affiche pour une manifestation contre le « projet Barras » à Berne et pour la « libération immédiate de tous les objecteurs de conscience ». Cette révision du Code pénal militaire est une décriminalisation partielle de l'objection de conscience qui « [permettrait] aux objecteurs d'effectuer, en lieu et place d'une peine privative de liberté, une astreinte à un travail d'intérêt général (d'une durée une fois et demie plus longue que le service militaire refusé) », des travaux d'intérêt public assumés jusque là par l'armée. (source : Année politique suisse). Caricature d'un officier de l'armée retenant un petit prisonnier en appuyant son pied sur son boulet.
Groupe pour une Suisse sans armée (GSSA), Secrétariat romand