Il s'agit de la cinquième émission d'une série sur le thème de la crise (1. Chômage, 2. Déreglementation, 3. Argent, 4. Écologie) : quelle sortie de crise, que faire ? L'émission 5 propose une synthèse des précédentes émissions et une réflexion sur l'accès à l'information et la redistribution de l'épargne. Questionnement sur le rôle de l'État. L'émission 6 commence à 00:27:00 et aborde les alternatives. Elle se termine sur des perspectives de lutte.
Jusqu'à 00:30:27 : Émission 5 de la série Toujours la crise.
Dès 00:32:45, enregistrement d'entretien téléphonique au sujet de la centrale de Creys-Malville, à propos du redémarrage de Superphénix. Cette deuxième partie semble dater du mois de novembre et a probablement été enregistrée par dessus le bulletin d'information.
Dès 00:40:05 : Bulletin d'information de Radio Zones.
Enregistrement de deux émissions en différé animée par « des gens qui veulent prendre la parole et oser réfléchir ensemble sur l'économie », sur la « masse d'argent en circulation et sur les nuisances de la production actuelle ». Constat que dans le discours, l'économie et la politique n'appartiennent pas à la vie de tous les jours. Il s'agit de la troisième et de la quatrième émission d'une série sur le thème de la crise (1. Chômage, 2. Déreglementation, 3. Argent, 4. Écologie) La quatrième émission commence à 00:34:19.
Première et deuxième émissions d'une série sur le thème de la crise (1. Chômage, 2. Déreglementation, 3. Argent, 4. Écologie) Première émission, le chômage et sa place dans la société. Deuxième émission, la déréglementation, qui commence à 00:31:39.
Introduction à une série d'émissions sur la crise et « l'économie internationale ». L'introduction début avec « l'analyse des problèmes posés par la maturité des sociétés industrialisées issues des révolutions techno-économique des années autour du siècle 1900». La série est animée par un groupe de trois ou quatre personnes non-expertes.
Le groupe de travail, ou séminaire permanente, nommé « PETRA » était animé par Eric Decarro, Christian Tirefort, Nicolas Wirz, Carmen Gazi et Olivier de Marcellus. D'après les très maigres informations sur cette initiative, ce groupe semblerait se constituer en tant que séminaire de discussion et réflexion sur l'économie capitaliste, la théorie marxienne et ses liens à la situation actuelle. Il n'est pas clair si le projet avait pour but la production de texte destinés à la publication, sauf les quelques « cahiers » écrits par Tirefort qui sont parfois reproduits sur le site Travail et salariat, branche suisse du Réseau salariat.
En plus que les textes de Tirefort (ch. 2-3), l'autre chemise contient les notes prises par Decarro lors des rencontres, quelque courriel imprimé, ainsi que les échanges des textes de cinq participant·es.
Comprend des documents relatifs aux activités d'un groupe de travail issu entre autres du Forum Social Lémanique. Début 2007, le comité du FSL se réuni et décide d'entamer les deux « chantiers » suivants : une « discussion de fond sur les perspectives [du mouvement anti-mondialisation] et un travail concret sur la précarisation ». (Voir notamment le document (e-mail) intitulé « Réunion FSL et Comité Contre la Précarisation mardi 30 17h30 ! » dans la chemise 1). Les participant·e·s régulier·es au groupe de travail semblent être Eric Decarro, Christian Tirefort, Nicolas Wirtz, Carmen Gazi et Olivier de Marcellus. Une partie du travail théorique produit par le groupe a été publié sur le site Travail et salariat.
Chemise 1 : Comprend des notes manuscrites, des échanges e-mails et des textes du groupe de travail.
Chemise 2 : Comprend une série de « cahiers » proposant une réflexion sur le travail dans une perspective matérialiste. Selon le site Travail et salariat, il est probable que ces cahiers aient été rédigés par Christian Tirefort.
Réplique d'une manchette du journal La Suisse à propos de l'initiative « contre l'abus du secret bancaire ». Inscription manuscrite au verso : « Fausses manchettes posées le même jour par Dé-blocons (pendant votations sur le secret bancaire) ».
Sous l'étiquette de « Documentation personnelle », cette série regroupe une grande quantité de documents qui peut être distinguée en deux grandes catégories : les documents privés proprement dits (la correspondance privée, le texte autobiographique intitulé Chronique, la copie de sa fiche de police) et ceux issus de son activité militante au sens large, qui n'ont pas pu être liés à aucunes des structures syndicales ou politiques dont il a fait partie. Une partie conséquente de cette documentation est liée à son travail intellectuel, surtout d'approfondissement et discussion autour de certaines questions économiques (notamment les classiques de la pensée économique et notamment un long travail d'analyse en prise directe de la crise des années 2010 nommé Chronique de la crise), a été aussi intégré ici, ainsi que les discours et les textes des interventions. Enfin, un recueil très volumineux (11 boîtes) de « Dossier thématiques », que Decarro même avait rangés sous forme de dossiers suspendus, ont été classés en respectant l'ordre et l’étiquetage originaux.
