« Il n'y a pas besoin de plan catastrophe. La seule manière de prévenir la catastrophe, c'est d'arrêter cette expérimentation grandeur anti-nature tout de suite ». Affiche pour une manifestation nationale suite à la fuite de sodium du réacteur Superphénix à Creys-Malville. Au recto, dessin d'un squelette avec le plan du réacteur à la place de son ventre. Explicitations des enjeux de dangerosité du réacteur au verso. Producteur (Édition de la Tempresse) attribué d'après le catalogue du Cira (cote 589).
Affiche antinucléaire représentant un enfant devant des lignes à haute tension. Un bandeau appelant à une votation contre le nucléaire est collé en bas de l'affiche mais ne semble correspondre à aucune date de votation ayant eu lieu sur ce sujet.
«... démarrage de la ruine de Malville » Affiche contre le redémarrage de Superphénix à la centrale de Creys-Malville. Photographie des dégâts sur Superphénix.
Affiche dénonçant la politique de Jacques Chirac et les essais nucléaires menés par l'État français à Moruroa en Polynésie française. L'affiche rebondi sur une action menée par des joueurs de l'équipe suisse de football, qui lors d'un match du championnat d'Europe ont déployé une banderole disant « Stop It Chirac ». L'affiche appelle à envoyer ses ordures « à ceux qui prennent la Polynésie pour une poubelle » : Jacques Chirac, l'Assemblée Nationale, l'Ambassade de France à Berne et le Consulat de France à Genève.
Affiche anti-nucélaire avec un collage du personnage dessiné par Exem pour l'affiche commandée par le Parti Socialiste genevois à l'occasion de l'élection du procureur général. Ce même personnage, représentant le procureur Bernard Bertossa, fut réutilisé par Exem dans une autre affiche, commandité par des amis squatters, et dénonçant l'attitude répressive de Bertossa vis à vis de ces derniers. (Source : Ariel Herbez, Affiches BD, 1996).
Affiche pour une manifestation le 27 avril 1991 à Genève, cinq ans après Tchernobyl. « Malville redémarre On agrandit Mühleberg et notre consommation d'éléctricité continue d'augmenter » Dessin représentant un gateau en forme de réacteur nucléaire avec une tête de mort dessus.
« Genève n'a pas de murailles contre les radiations » Affiche pour un rassemblement contre le redémarrage de Superphénix à l'occasion de la fête de l'Escalade à Genève. Dessins représentant les savoyards escaladant la muraille.
« Il n'y a pas de folie plus grande que l'organisation présente de la vie » Affiche commémorative 4 ans après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. Photographie de manifestants à Minsk.
Affiche contre le redémarrage du réacteur Superphénix de la centrale de Creys-Malville. Citation du journal Libération sur des enfants qui tombent malades dans une ville proche de Tchernobyl. Le dessin de Topor représente une femme portant dans ses bras un bébé au corps troué duquel quelque chose fuit. Un homme les regarde. Le texte suivant est inscrit en haut du dessin : « - On l'appelle Centrale nucléaire parce qu'il fuit de partout. - Tant qu'il ne pète pas... ». En bas de l'image, le dessin d'un coq portant l'inscription « Mort au coq fou ».