Affiche pour une manifestation antinucléaire à Lyon, 10 ans après la catastrophe de Tchernobyl, et pour l'arrêt de Superphénix. Départ groupé de Genève. Photographies des centrales et d'une manifestation contre Superphénix.
« Accompagnons les marcheurs de Malville - Paris » Affiche pour une manifestation puis un concert du Beau Lac de Bâle contre le redémarrage du réacteur Superphénix de la centrale de Creys-Malville. Dessin représentant un crane humain avec une casserole sur la tête, portant l'inscription « amène ta casserole » et un sifflet dans la bouche.
Affiche pour une manifestation de soutien à Genève, « pour la libération immédiate des quatre séquestrés de la police fédérale ». Dessin d'un ange libérant un prisonnier, une fenêtre de la prison dans le fond a les barreaux brisés.
Affiche pour une manifestation antinucléaire à Genève, à propos de la centrale de Creys-Malville et des essais nucléaires menés par l'État français à Moruroa en Polynésie française. Dessin représentant deux personnages qui dansent, portant des masques avec le symbole de la radioactivité.
« Faites l'humour, pas la guerre » « Jeunes voix, re-sensez-vous » Affiche reproduisant un texte poétique et humoristique appelant à une manifestation à Genève. Reproduction du dessin Paysage suisse V dans Du monde moderne de Martial Leiter (Éditions d'en Bas, 1989).
Affiche appelant à une manifestation à Genève à l'occasion du procès des « événements des Vernets » : « Au cours de l'école de recrue ER.PA.246, de nombreuses manifestations individuelles et collectives de résistance à l'embrigadement militaire, à la robotisation et au matraquage idéologique ont lieux ». Ces luttes furent réprimées, 4 soldats et 6 civils arrêtés.
Comité de soutien aux inculpés civils et militaire de l'ER.PA 246
Affiche pour une manifestation à Genève. L'affiche reproduit une carte de Genève avec le tracé du parcours, visiblement des Bastions à la rue Beaulacre, ou l'inverse. La carte est encadrée de drapeaux suisses.
Affiche pour une manifestation contre le « projet Barras » à Berne et pour la « libération immédiate de tous les objecteurs de conscience ». Cette révision du Code pénal militaire est une décriminalisation partielle de l'objection de conscience qui « [permettrait] aux objecteurs d'effectuer, en lieu et place d'une peine privative de liberté, une astreinte à un travail d'intérêt général (d'une durée une fois et demie plus longue que le service militaire refusé) », des travaux d'intérêt public assumés jusque là par l'armée. (source : Année politique suisse). Caricature d'un officier de l'armée retenant un petit prisonnier en appuyant son pied sur son boulet.
Groupe pour une Suisse sans armée (GSSA), Secrétariat romand