Sérigraphie représentant un militant contre le coup d’État de Pinochet au Chili, tenant une arme à la main devant les couleurs du drapeau chilien. L'étoile du drapeau est à droite alors qu'elle est d'habitude toujours à gauche du drapeau.
Série de 5 affichettes sur la deuxième déclaration de la Havane avec des illustrations, probablement réalisée par le collectif Chant Continu. « Quoiqu'il arrive, ceux qui mourront maintenant mourront comme ceux de Cuba, comme ceux de Playa Girón : ils mourront pour leur véritable et définitive indépendance. (Seconde Déclaration de la Havanne) »
Série de 5 affichettes sur la Seconde déclaration de la Havane (4 février 1962) avec des illustrations, probablement réalisée par le collectif Chant Continu.
«Soutien aux luttes révolutionnaires au Yemen, au Golfe arabe et en Erythrée». Meeting avec Abdulla Fattah, président de l'union des étudiants yéménites en France. Photographie d'une femme révolutionnaire au Dhofar, carte manuscrite du Moyen-Orient.
"Le comptoir n'est pas neutre : il n'invite pas le peuple portugais mais le Portugal de la dictature et de la terreur coloniale". "La Suisse profite aussi du renforcement d'un bastion blanc en Afrique australe". Document sur le "colonialisme portugais et les mouvements de libération". Photographies de combattants africains et de militaires portugais. Dessin humoristique.
Appel pour une manifestation nationale de solidarité avec le Chili le 1er décembre 1973 à Zürich (Helvetiaplatz). Dénonciation du rôle des multinationales suisses au Chili («Capital suisse complice»).
« Entre les peuples qui luttent pour leur libération et le fascisme portugais, Entre tous ceux qui se mobilisent contre la présence du fascisme portugais et l'État suisse qui l'invite au Comptoir, Il n'y a pas de coexistence possible » Appel à une manifestation nationale le samedi 8 septembre 1973 contre la présence du Portgual au Comptoir à Lausanne. Photographies représentant les peuples d'Afrique en lutte et le palais de Beaulieu. Manifestation nationale, texte en allemand au verso. Critique du conseiller d'État Georges-André Chevallaz.