Il s'agit d'une affiche (noir et orange sur papier beige) annonçant une manifestation le 30 et 31 juillet 1977 à Crey-Malville (Isère, France) contre le réacteur nucléaire Super-phénix. Il s'agit d'une affiche du comité Anti-nucléaire Malville.
Dessin d'un soleil qui pointe à l'horizon et de fils de fer barbelés.
Impression: rotographie.
Trois exemplaires.

Affiche du comité de coordination contre Verbois nucléaire pour une assemblée populaire de soutien aux occupant·e·s du chantier de la centrale de Kaiseraugst en Argovie.
« Halte à l'industrie nucléaire, combat pour la vie ».

Affiche pour une manifestation le 27 avril 1991 à Genève, cinq ans après Tchernobyl.
« Malville redémarre
On agrandit Mühleberg
et notre consommation d'éléctricité continue d'augmenter »
Dessin représentant un gateau en forme de réacteur nucléaire avec une tête de mort dessus.

Affiche informationnelle sur la lutte contre la remise en marche de Superphénix, générateur de la centrale de Creys-Malville en Isère.

Affiche annonçant une manifestation nationale contre le redémarrage de la centrale nucléaire française Superphénix de Creys-Malville (Isère). La liste conséquente des soutiens se trouve en bas de l'affiche.

« Perturbation des factures d'électricité
Retrait des capitaux publics investis par les S.I.G dans le nucléaire »

Affiche pour une semaine d'information sur les centrales nucléaires au centre de loisirs et de rencontre de Carouge. Exposition, film, débat. Photographie représentant les tours de refroidissement de Calder Hall en Angleterre.

« Contre l'industrie nucléaire, soutenons Kaiseraugst, soutenons l'initiative, signons le moratoire. »

«... démarrage de la ruine de Malville »
Affiche contre le redémarrage de Superphénix à la centrale de Creys-Malville. Photographie des dégâts sur Superphénix.

Manchette du Courrier pour une exposition autour de la centrale de Creys-Malville. Photographie de trois enfants marchant sur un pont (visiblement le Pont de la Machine à Genève), l'un·e d'eux avec une pancarte « hier : Tchernobyl, demain : Malville ? »